Saint-André est la première ville de l'île de La Réunion à signer un Protocole de Participation Citoyenne avec l'Etat.
Le document a été paraphé ce lundi après-midi par Christine Geoffroy, sous-préfète de Saint-Benoît, Jean-François Lebon, directeur départemental de la Sécurité publique, ainsi que Viviane Ben Hamida, adjointe à la sécurité, représentant Jean-Paul Virapoullé, maire de Saint-André.
Le but est d'apporter une action complémentaire et de proximité dans la lutte contre les phénomènes de délinquance. Cette initiative locale consiste à sensibiliser les habitants sur en les associant à leur propre environnement. Elle repose sur la mise en oeuvre de chaînes de vigilance structurées autour d'habitants d'une même rue ou d'un même quartier pour permettre l'alerte la plus rapide des forces de l'ordre en cas de besoin.
Ce dispositif ne se substitue en aucun cas à l'action de la police nationale. Il permet simplement de developper les liens de solidarité et d'entraide entre les citoyens et les élus. Il a pour but de rassurer la population, d'améliorer la réactivité de la police contre la délinquance d'appropriation et les cambriolages, mais aussi d'accroître l'efficacité de la prévention de proximité.
La finalité tient dans le fait que les habitants deviennent acteurs. Ce Protocole de Participation Citoyenne s'inscrit directement dans le dispositif de Police Sécurité du Quotidien voulu par le gouvernement.
Le document a été paraphé ce lundi après-midi par Christine Geoffroy, sous-préfète de Saint-Benoît, Jean-François Lebon, directeur départemental de la Sécurité publique, ainsi que Viviane Ben Hamida, adjointe à la sécurité, représentant Jean-Paul Virapoullé, maire de Saint-André.
Le but est d'apporter une action complémentaire et de proximité dans la lutte contre les phénomènes de délinquance. Cette initiative locale consiste à sensibiliser les habitants sur en les associant à leur propre environnement. Elle repose sur la mise en oeuvre de chaînes de vigilance structurées autour d'habitants d'une même rue ou d'un même quartier pour permettre l'alerte la plus rapide des forces de l'ordre en cas de besoin.
Ce dispositif ne se substitue en aucun cas à l'action de la police nationale. Il permet simplement de developper les liens de solidarité et d'entraide entre les citoyens et les élus. Il a pour but de rassurer la population, d'améliorer la réactivité de la police contre la délinquance d'appropriation et les cambriolages, mais aussi d'accroître l'efficacité de la prévention de proximité.
La finalité tient dans le fait que les habitants deviennent acteurs. Ce Protocole de Participation Citoyenne s'inscrit directement dans le dispositif de Police Sécurité du Quotidien voulu par le gouvernement.