Le Conseil a débouté l'ancienne Miss de toutes ses demandes, estimant que le contrat liant Ingreed Mercredi au Comité n'était pas un contrat de travail.
Le Conseil des Prud'hommes a observé les relations de travail entre les parties et a ainsi estimé que la mise à disposition de la Miss Réunion n'était pas totale envers le Comité et ne constituait donc pas de contrainte envers les projets de la jeune femme.
Pour rappel, l'ancienne reine de beauté, qui avait été suspendue peu après l'élection de Miss France suite à des désaccords avec le comité, tente de faire reconnaître un contrat de travail, estimant qu'il existait un lien de subordination à l'égard du comité. De son côté, le Comité Miss Réunion, présidé par Aziz Patel, affirme qu'il s'agit là d'une simple "collaboration". 40.000 euros de dommages et intérêts avaient été demandés au titre de la rupture du contrat.
En 2015, la jeune femme avait accusé le comité de traiter les miss comme des femmes-objets. Après une agression sexuelle lors du salon de l'Automobile à Paris, aucun soutien ne lui avait été apporté ce jour-là.
Après une période dépressive, la jeune femme avait partagé son désarroi avec les médias.
Le tribunal a écouté les arguments des deux parties le 31 octobre dernier, avant de mettre son jugement pour un délibéré rendu aujourd'hui.
Le Conseil des Prud'hommes a observé les relations de travail entre les parties et a ainsi estimé que la mise à disposition de la Miss Réunion n'était pas totale envers le Comité et ne constituait donc pas de contrainte envers les projets de la jeune femme.
Pour rappel, l'ancienne reine de beauté, qui avait été suspendue peu après l'élection de Miss France suite à des désaccords avec le comité, tente de faire reconnaître un contrat de travail, estimant qu'il existait un lien de subordination à l'égard du comité. De son côté, le Comité Miss Réunion, présidé par Aziz Patel, affirme qu'il s'agit là d'une simple "collaboration". 40.000 euros de dommages et intérêts avaient été demandés au titre de la rupture du contrat.
En 2015, la jeune femme avait accusé le comité de traiter les miss comme des femmes-objets. Après une agression sexuelle lors du salon de l'Automobile à Paris, aucun soutien ne lui avait été apporté ce jour-là.
Après une période dépressive, la jeune femme avait partagé son désarroi avec les médias.
Le tribunal a écouté les arguments des deux parties le 31 octobre dernier, avant de mettre son jugement pour un délibéré rendu aujourd'hui.