Ce dimanche 4 novembre, 174 154 électeurs Néo-Calédoniens étaient appelés à se prononcer "oui" ou "non" à la question suivante: "Voulez-vous que la Nouvelle-Calédonie accède à la pleine souveraineté et devienne indépendante?".
Après 95 % du dépouillement, 57 % des électeurs ont voté pour le "non" à la pleine souveraineté et à l’indépendance.
Présidente de l’Intergroupe parlementaire des Outre-mer, Mme la Députée Nadia Ramassamy se félicite de la poursuite du destin commun entre la France et la Nouvelle-Calédonie.
Façonnée par la civilisation millénaire du peuple Kanak, représentant 14 % de l’espace maritime de la France, et située au cœur de la zone stratégique "Indo-pacifique" à équidistance de l’Australie, des Îles Fidji, du Vanuatu et de la Nouvelle-Zélande, la Nouvelle- Calédonie est une richesse inestimable pour la France.
Trente ans après les Accords de Matignon, ce référendum doit écrire un nouveau chapitre entre Paris et Nouméa avec la consolidation de la paix, la poursuite du dialogue entre toutes les sensibilités politiques, la lutte contre les inégalités sociales, et la reconnaissance du patrimoine culturel et linguistique de toutes les communautés de la Nouvelle-Calédonie.
C’est dans cet esprit que la France et la Nouvelle-Calédonie doivent continuer leur histoire commune, afin de faire face aux grands défis de notre temps, aussi bien dans les domaines de la paix, de la sécurité internationale, et du climat.
Après 95 % du dépouillement, 57 % des électeurs ont voté pour le "non" à la pleine souveraineté et à l’indépendance.
Présidente de l’Intergroupe parlementaire des Outre-mer, Mme la Députée Nadia Ramassamy se félicite de la poursuite du destin commun entre la France et la Nouvelle-Calédonie.
Façonnée par la civilisation millénaire du peuple Kanak, représentant 14 % de l’espace maritime de la France, et située au cœur de la zone stratégique "Indo-pacifique" à équidistance de l’Australie, des Îles Fidji, du Vanuatu et de la Nouvelle-Zélande, la Nouvelle- Calédonie est une richesse inestimable pour la France.
Trente ans après les Accords de Matignon, ce référendum doit écrire un nouveau chapitre entre Paris et Nouméa avec la consolidation de la paix, la poursuite du dialogue entre toutes les sensibilités politiques, la lutte contre les inégalités sociales, et la reconnaissance du patrimoine culturel et linguistique de toutes les communautés de la Nouvelle-Calédonie.
C’est dans cet esprit que la France et la Nouvelle-Calédonie doivent continuer leur histoire commune, afin de faire face aux grands défis de notre temps, aussi bien dans les domaines de la paix, de la sécurité internationale, et du climat.