Les autorités indiennes ont mis un pigeon en… prison. L’oiseau était coupable d’avoir porté un message signé de djihadistes de Lashkar-e-Taiba. Ce serait la police des frontières qui l’aurait attrapé à Pathankot, une ville du Penjab indien, avant de retrouver le message sur une de ses pattes.
Les signataires, et probablement propriétaires du messager ailé, se réclament comme les auteurs des attentats de Bombay en 2009. 188 personnes dont 26 étrangers, ont été tuées dans ces attaques.
Rakesh Kumar, l’inspecteur de la police de cette localité, dit prendre la menace très au sérieux. En effet, l’Inde et son voisin pakistanais sont en état d’alerte. La moindre dérive, intentionnelle ou pas, des deux puissances nucléaires sur la frontière commune pourrait être prise comme une provocation.
Certains groupuscules, entités ou organisations du monde entier pratiquent encore la messagerie à pigeon. Ces oiseaux seraient plus discrets que les drones et sont dotés d’une certaine intelligence.
Les signataires, et probablement propriétaires du messager ailé, se réclament comme les auteurs des attentats de Bombay en 2009. 188 personnes dont 26 étrangers, ont été tuées dans ces attaques.
Rakesh Kumar, l’inspecteur de la police de cette localité, dit prendre la menace très au sérieux. En effet, l’Inde et son voisin pakistanais sont en état d’alerte. La moindre dérive, intentionnelle ou pas, des deux puissances nucléaires sur la frontière commune pourrait être prise comme une provocation.
Certains groupuscules, entités ou organisations du monde entier pratiquent encore la messagerie à pigeon. Ces oiseaux seraient plus discrets que les drones et sont dotés d’une certaine intelligence.
