Une détresse que le directeur général, Thierry Pérez, tentait hier d’apaiser. “Les services qui ne sont pas touchés, comme la fourrière animale, vont continuer à fonctionner. Pour les autres, on est déjà en train de réfléchir. Il n’y aura pas de chômage technique, on fera tout pour que ça continue d’une manière ou d’une autre. Le personnel ne sera pas puni” extrait du jir d’aujourd’hui.
Pas de chômage technique pour 150 personnes alors qu’ils n’ ont plus leur outil de travail. En deux mots, nous (les contribuables du TCO) allons payer des gens a rien foutre!!Il Est très fort ce Perez, surtout quand il s’agit de l’argent…des autres.
De plus cet entreprise a acquis récemment les certifications qualité et sécurité: Je serai curieux de savoir si ces certifications chèrement payées (encore une fois avec notre argent) ont permis, au niveau de la sécurité du site, d’obtenir les garanties nécessaires pour être efficace en terme de prévention et de lutte contre l’ampleur et la rapidité de cet incendie (site à risque du fait du stockage massif et peu réglementaire de produits hautement inflammables).
Comme plus de 150 salariés et de nombreux riverains et amis d’une terre propre sont concernés par cette faute grave de la direction, eh bien que le directeur s’explique…
S’agissant de l’origine du sinistre, il est fort probable que le départ du feu ait été causé par une personne mal intentionné. Et les enquêteurs ne manqueront pas de pistes car entre la concurrence mafieuse dans ce secteur d’activité où les ordures s’occupent d’autres ordures et la personnalité mégalomane, arriviste et despote de ce pseudo directeur général au veston réversible, les pyromanes vengeurs sont légions…