Deux ans de signalements auprès de la police municipale et nationale, la mairie, l’ARS et auprès du Département. Deux ans que ces riverains de la ravine Bancoul à Sainte-Clotilde se plaignent d’un individu suspect dont le campement illégal s’étendait jusque de l’autre côté de la ravine.
Musique, va-et-vient, cris d’animaux… Et pourtant, "rien n'a été fait". L’un des voisins affirme avoir été abandonné par les autorités. Seul le Département aurait récemment mandaté une société pour nettoyer la ravine des déchets jetés par cette personne et vider son campement.
Est-ce pour cela qu’il a mis le feu ce vendredi soir ? La cause est-elle tout autre ? Car des flammes de plus de 5 mètres de haut ont inquiété les voisins. Les pompiers ont pu les maîtriser et ainsi sauver quelques poules… quant aux cabris et chiens, nous ne connaissons pas leur sort.
Pour l’un des riverains, le danger était imminent depuis des années mais personne ne s’en était soucié. "Quand c’est pour venir voir une plainte d’un voisin quant à un mur légal sur notre terrain servant à éloigner les rats et protéger des cambrioleurs, là la police se déplace par contre", fait-il remarquer.
Aujourd'hui nous demandons au moins des rondes de police cette nuit au cas où il reviendrait pour finir ce qu’il a commencé mais on me dit qu’il faut adresser un courrier". Ils espèrent au moins que cet incident marque la fin du combat.
Musique, va-et-vient, cris d’animaux… Et pourtant, "rien n'a été fait". L’un des voisins affirme avoir été abandonné par les autorités. Seul le Département aurait récemment mandaté une société pour nettoyer la ravine des déchets jetés par cette personne et vider son campement.
Est-ce pour cela qu’il a mis le feu ce vendredi soir ? La cause est-elle tout autre ? Car des flammes de plus de 5 mètres de haut ont inquiété les voisins. Les pompiers ont pu les maîtriser et ainsi sauver quelques poules… quant aux cabris et chiens, nous ne connaissons pas leur sort.
Pour l’un des riverains, le danger était imminent depuis des années mais personne ne s’en était soucié. "Quand c’est pour venir voir une plainte d’un voisin quant à un mur légal sur notre terrain servant à éloigner les rats et protéger des cambrioleurs, là la police se déplace par contre", fait-il remarquer.
Aujourd'hui nous demandons au moins des rondes de police cette nuit au cas où il reviendrait pour finir ce qu’il a commencé mais on me dit qu’il faut adresser un courrier". Ils espèrent au moins que cet incident marque la fin du combat.