Un arrêté de péril a été pris par la mairie de la Possession le 4 décembre. Il faisait suite à l’incendie survenu dans une résidence privée à Camp Magloire. L’immeuble a été ravagé au sous-sol servant de parking. Les flammes ont endommagé les câbles du réseau électrique, les canalisations d’eau et d’assainissement ainsi que les parties communes.
Quelques heures après le sinistre, la Ville a mis en place un hébergement de nuit et les personnes sinistrées ont pu se reposer en toute sécurité durant l’ensemble du week-end et bénéficier à titre gracieux de repas chauds.
Une fois l’urgence passée, la situation de relogement était disparate, en fonction des choix et des solutions trouvées par chacun des résidents. Six locataires avaient décidé de retourner dans leur appartement, ce qui a incité la mairie à prendre un arrêté de péril, pour des raisons de sécurité évidente.
Vendredi dernier, cinq familles avaient pu bénéficier d’un relogement par l’intermédiaire de leur assurance, les autres logeaient chez leurs familles et étaient en attente de leur assurance.
"Devant le désarroi de ces familles ne désirant quitter leur logement malgré la dangerosité des lieux sinistrés, la maire a pris un arrêté de péril imminent empêchant toute occupation du bâtiment pour les raisons liées à la sécurité", confirme la mairie.
"Compte tenu de la dangerosité qui pèse sur les occupants, la Ville continue d’accompagner les locataires n’ayant pas bénéficié d’une prise en charge par leur propriétaire ou assurance à travers des solutions de relogement, par le biais du service habitat. A ce titre, un locataire a été attributaire d’un logement temporaire par un bailleur social", ajoute la mairie.
Les différents diagnostics des réseaux ont été réalisés et des mesures conservatoires prises en vue d'assurer la sécurisation des lieux. Des travaux ont été entrepris sur la réfection des réseaux endommagés. Le nettoyage et la décontamination du bâtiment étaient également en cours en fin de semaine dernière.
Quelques heures après le sinistre, la Ville a mis en place un hébergement de nuit et les personnes sinistrées ont pu se reposer en toute sécurité durant l’ensemble du week-end et bénéficier à titre gracieux de repas chauds.
Une fois l’urgence passée, la situation de relogement était disparate, en fonction des choix et des solutions trouvées par chacun des résidents. Six locataires avaient décidé de retourner dans leur appartement, ce qui a incité la mairie à prendre un arrêté de péril, pour des raisons de sécurité évidente.
Vendredi dernier, cinq familles avaient pu bénéficier d’un relogement par l’intermédiaire de leur assurance, les autres logeaient chez leurs familles et étaient en attente de leur assurance.
"Devant le désarroi de ces familles ne désirant quitter leur logement malgré la dangerosité des lieux sinistrés, la maire a pris un arrêté de péril imminent empêchant toute occupation du bâtiment pour les raisons liées à la sécurité", confirme la mairie.
"Compte tenu de la dangerosité qui pèse sur les occupants, la Ville continue d’accompagner les locataires n’ayant pas bénéficié d’une prise en charge par leur propriétaire ou assurance à travers des solutions de relogement, par le biais du service habitat. A ce titre, un locataire a été attributaire d’un logement temporaire par un bailleur social", ajoute la mairie.
Les différents diagnostics des réseaux ont été réalisés et des mesures conservatoires prises en vue d'assurer la sécurisation des lieux. Des travaux ont été entrepris sur la réfection des réseaux endommagés. Le nettoyage et la décontamination du bâtiment étaient également en cours en fin de semaine dernière.