
L’histoire pourrait faire penser au scénario d’une mauvaise comédie, mais elle est pourtant bien réelle. Tout débute à la prison de Domenjod. Les surveillants découvrent une mystérieuse lettre dans la cellule d’un détenu où il est demandé de faire exploser une maison contre une grosse somme d’argent. Le destinataire, Mohamed O.,est tout juste arrivé de Mayotte en août 2019 et a été incarcéré pour une histoire de violences avec armes Saint-Benoît.
Après une année d’enquête, les gendarmes sont parvenus à mettre la main sur quatre individus soupçonnés de vouloir faire exploser une maison de la Plaine-des-Palmistes. Les enquêteurs se sont intéressés à l’homme qui a financé le billet d’avion de Mohamed O., un certain Marc F, et à un autre homme Giovanni B., tous les deux sont déjà bien connus de la justice. Enfin, un quatrième individu, Alfredo R, été interpellé pour avoir gardé la TNT, qu’il a découverte factice par la suite.
Un lien avec Guito Narayanin?
Selon nos confrères du JIR, Marc F. et Giovanni B. sont impliqués dans l’agression d’une avocate à Mayotte en septembre 2015. Hier, dans le bureau du juge des libertés et de la détention, les prévenus n’ont pas apporté plus de clarté dans ce dossier, chacun rejetant la faute sur l’autre. Mais face aux risques que peut représenter la libération des bénédictins, décision a été prise de les maintenir en détention provisoire. Ils sont mis en examen pour associations de malfaiteurs en vue de la commission d’un crime ou d’un délit.
Après une année d’enquête, les gendarmes sont parvenus à mettre la main sur quatre individus soupçonnés de vouloir faire exploser une maison de la Plaine-des-Palmistes. Les enquêteurs se sont intéressés à l’homme qui a financé le billet d’avion de Mohamed O., un certain Marc F, et à un autre homme Giovanni B., tous les deux sont déjà bien connus de la justice. Enfin, un quatrième individu, Alfredo R, été interpellé pour avoir gardé la TNT, qu’il a découverte factice par la suite.
Un lien avec Guito Narayanin?
Selon nos confrères du JIR, Marc F. et Giovanni B. sont impliqués dans l’agression d’une avocate à Mayotte en septembre 2015. Hier, dans le bureau du juge des libertés et de la détention, les prévenus n’ont pas apporté plus de clarté dans ce dossier, chacun rejetant la faute sur l’autre. Mais face aux risques que peut représenter la libération des bénédictins, décision a été prise de les maintenir en détention provisoire. Ils sont mis en examen pour associations de malfaiteurs en vue de la commission d’un crime ou d’un délit.