
Un Lazare plus mort que nature, spectateur volontaire, agoni par ces deux harpies que sont Alissa et Raymonde, vedetes-fétiches de TAZ.
C’est son soixante-dixième défi aux lois et pouvoirs établis ; son soixante-dixième coup de passion ; un pari supplémentaire, comme tous ceux que lance ce fou furieux de François Folio depuis des décennies.
Quand je dis "passion", je sais de quoi je parle, n’ayant moi-même (sur)vécu qu’à grands coups de passions successives depuis… oh ! un sacré bail. Vous savez, ce que Brassens définit comme "l’amourette qui passe et vous prend aux cheveux". Tout à l’opposé du petit bonheur tranquille qui fout la trouille. Cela se manifeste de mille façons, guitare, théâtre, écriture, cuisine…
Le Théâtre d’Azur survit quasiment sans aides publiques parce que le théâtre, comme toute forme d’expression artistique, n’entre pas dans le domaine des choses qui rapportent. Et aussi, disons-le, parce que Folio est une grande gueule, qui ne s’en laisse jamais conter et dit "merde" quand il pense "zut". C’est pourquoi on s’aime et que j’assiste régulièrement à ses folies.
Cette fois, opérant un savant medley de quelques-unes de ses créations, François rend hommage à la femme, si souvent malmenée. Il le fait bien, même si les propos ne sont pas forcément tendres. Mais c’est le sort fait aux femmes qui veut ça : elles doivent souvent hurler pour qu’on les entende… à défaut de les écouter.
Et Dieu, qu’elles crient bien, Raymonde et Alissa, les deux vedettes fétiches de François Folio. J’allais dire "elles crient joliment bien" car belles à donner le tournis, toutes les deux. Et le public, convié à participer par tirage au sort, ne s’est pas fait prier : ça rigolait ferme, hier soir.
Ce soir, c’est peut-être votre tour ?
Nos théâtres réunionnais permanents ont fermé les uns derrière les autres pour cause de stupidité étatique ou municipale. Seuls TAK et quelques associations aident un peu ce Théâtre d’Azur qui n’en peut mais.
VOUS, vous pouvez ! En allant aux représentations. Culture ne s’écrit pas comme kalachnikov. Prouvez-le !
Les vendredis 7, 14, 21 et 28 avril. Les samedis 1er, 8, 15 et 29 avril, à 20 heures. Réservations : 0262-27-65-16 – 0693-00-54-88
Quand je dis "passion", je sais de quoi je parle, n’ayant moi-même (sur)vécu qu’à grands coups de passions successives depuis… oh ! un sacré bail. Vous savez, ce que Brassens définit comme "l’amourette qui passe et vous prend aux cheveux". Tout à l’opposé du petit bonheur tranquille qui fout la trouille. Cela se manifeste de mille façons, guitare, théâtre, écriture, cuisine…
Le Théâtre d’Azur survit quasiment sans aides publiques parce que le théâtre, comme toute forme d’expression artistique, n’entre pas dans le domaine des choses qui rapportent. Et aussi, disons-le, parce que Folio est une grande gueule, qui ne s’en laisse jamais conter et dit "merde" quand il pense "zut". C’est pourquoi on s’aime et que j’assiste régulièrement à ses folies.
Cette fois, opérant un savant medley de quelques-unes de ses créations, François rend hommage à la femme, si souvent malmenée. Il le fait bien, même si les propos ne sont pas forcément tendres. Mais c’est le sort fait aux femmes qui veut ça : elles doivent souvent hurler pour qu’on les entende… à défaut de les écouter.
Et Dieu, qu’elles crient bien, Raymonde et Alissa, les deux vedettes fétiches de François Folio. J’allais dire "elles crient joliment bien" car belles à donner le tournis, toutes les deux. Et le public, convié à participer par tirage au sort, ne s’est pas fait prier : ça rigolait ferme, hier soir.
Ce soir, c’est peut-être votre tour ?
Nos théâtres réunionnais permanents ont fermé les uns derrière les autres pour cause de stupidité étatique ou municipale. Seuls TAK et quelques associations aident un peu ce Théâtre d’Azur qui n’en peut mais.
VOUS, vous pouvez ! En allant aux représentations. Culture ne s’écrit pas comme kalachnikov. Prouvez-le !
Les vendredis 7, 14, 21 et 28 avril. Les samedis 1er, 8, 15 et 29 avril, à 20 heures. Réservations : 0262-27-65-16 – 0693-00-54-88