Les surfeurs qui avaient prévu de se jeter à l’eau demain vont finalement pouvoir consacrer leur journée aux achats de Noël. Contrairement à ce qui avait été annoncé en octobre dernier, les spots de surf de Saint-Leu ne seront pas sécurisés et ouverts à la pratique ce 19 décembre.
Depuis plusieurs mois, le Centre sécurité requin (CSR) et le Leu tropical surf club travaillent sur la mise en place d’une zone d'expérimentation opérationnelle (ZONEX) pour une pratique encadrée du surf sur la gauche de Saint-Leu. Ce projet de sécurisation consiste à mettre à l’eau plusieurs jet-skis qui seront appuyés par des bateaux en situation de pêche, des drones d’observation et une base nautique. Les surfeurs devront être également équipés d’un système individuel de répulsion.
Ce dispositif doit coûter 800 000€ d’investissement la première année et 400 000€ les suivantes. Un financement qui devait être pris en charge à la fois par l’État, la Région, le Département, la commune de Saint-Leu et éventuellement le TCO. Le CSR devait également apporter 200 000€.
Dans un communiqué publié ce vendredi, la mairie de Saint-Leu a refroidi les espoirs des amateurs de surf. La municipalité informe que si elle souhaite bien accompagner le projet d’une ZONEX, le dossier lui a été remis trop tardivement par l’association.
La mairie de Saint-Leu désire avoir des clarifications concernant le degré de responsabilité du maire et de la collectivité, la procédure de contrôle d’accès à l’eau, les assurances contractées par l’association pour couvrir l’activité, le statut et les compétences du personnel de l’association et sur la pérennité du dispositif. La commune assure vouloir une reprise du surf, mais souhaiterait un partage équitable et solidaire des responsabilités juridiques et financières.
Le travail va donc reprendre pour clarifier tous ces points et les surfeurs vont devoir prendre leur mal en patience encore un peu.
Depuis plusieurs mois, le Centre sécurité requin (CSR) et le Leu tropical surf club travaillent sur la mise en place d’une zone d'expérimentation opérationnelle (ZONEX) pour une pratique encadrée du surf sur la gauche de Saint-Leu. Ce projet de sécurisation consiste à mettre à l’eau plusieurs jet-skis qui seront appuyés par des bateaux en situation de pêche, des drones d’observation et une base nautique. Les surfeurs devront être également équipés d’un système individuel de répulsion.
Ce dispositif doit coûter 800 000€ d’investissement la première année et 400 000€ les suivantes. Un financement qui devait être pris en charge à la fois par l’État, la Région, le Département, la commune de Saint-Leu et éventuellement le TCO. Le CSR devait également apporter 200 000€.
Dans un communiqué publié ce vendredi, la mairie de Saint-Leu a refroidi les espoirs des amateurs de surf. La municipalité informe que si elle souhaite bien accompagner le projet d’une ZONEX, le dossier lui a été remis trop tardivement par l’association.
La mairie de Saint-Leu désire avoir des clarifications concernant le degré de responsabilité du maire et de la collectivité, la procédure de contrôle d’accès à l’eau, les assurances contractées par l’association pour couvrir l’activité, le statut et les compétences du personnel de l’association et sur la pérennité du dispositif. La commune assure vouloir une reprise du surf, mais souhaiterait un partage équitable et solidaire des responsabilités juridiques et financières.
Le travail va donc reprendre pour clarifier tous ces points et les surfeurs vont devoir prendre leur mal en patience encore un peu.