"C’est le serpent qui se mord la queue". C’est ainsi que Jean-Eudes Massard qualifie la difficulté à laquelle il doit faire face. Alors qu’il a fait venir son véhicule au GPL (gaz de pétrole liquéfié) de métropole, il déplore se retrouver désormais "dans une impasse".
"Lors du passage du contrôle technique, il est demandé que le réservoir de GPL soit en fonction (donc avec du gaz)", indique-t-il, précisant que le transporteur en charge du déménagement lui avait demandé de vider le réservoir pour des raisons de sécurité.
Problème, depuis son arrivée, il n'a pas d'autre choix que de le laisser vide. Car s'il avait lu sur internet qu'une station de l'île en vendait, la réalité est tout autre. "Je me suis rendu à la station-service mais ils n'en avaient pas. La Deal m'a confirmé par la suite qu'il n'y en avait pas sur l'île", explique-t-il.
"Un véhicule plus écologique"
Sans ce carburant, impossible donc d'être durablement en règle. "Il m'est impossible de passer un contrôle technique sans contre-visite obligatoire, car pour que le contrôle technique soit validé, il faut du gaz dans le réservoir. Comme je ne pourrai jamais en mettre et que le papier provisoire est valable deux mois, je devrais tous les deux mois passer au contrôle technique, avec une contre-visite systématique", s'indigne-t-il, soulignant au passage que le contrôle dans le garage habilité pour les véhicules GPL (il en existe sur l'île) est dix euros plus cher qu’une visite normale.
Une aberration pour Jean-Eudes Massard, qui a acheté un véhicule "plus économique", mais aussi "plus écologique", les rejets de gaz à effet de serre étant moins importants que pour un véhicule fonctionnant au gazole ou à l'essence.
"Pourquoi un véhicule ne fonctionnant plus au GPL, indépendant de mon bon vouloir, n'est-il pas contrôlé que sur le mode essence puisque celui-ci ne peut fonctionner plus que comme ça ?", questionne-t-il alors.
Il demande ainsi une dérogation, afin que son véhicule puisse passer le contrôle technique "en mode essence". Il indique avoir écrit en ce sens le 7 avril à la Deal ainsi qu'au Président de Région, mais n’avoir reçu à ce jour aucune réponse.
"Lors du passage du contrôle technique, il est demandé que le réservoir de GPL soit en fonction (donc avec du gaz)", indique-t-il, précisant que le transporteur en charge du déménagement lui avait demandé de vider le réservoir pour des raisons de sécurité.
Problème, depuis son arrivée, il n'a pas d'autre choix que de le laisser vide. Car s'il avait lu sur internet qu'une station de l'île en vendait, la réalité est tout autre. "Je me suis rendu à la station-service mais ils n'en avaient pas. La Deal m'a confirmé par la suite qu'il n'y en avait pas sur l'île", explique-t-il.
"Un véhicule plus écologique"
Sans ce carburant, impossible donc d'être durablement en règle. "Il m'est impossible de passer un contrôle technique sans contre-visite obligatoire, car pour que le contrôle technique soit validé, il faut du gaz dans le réservoir. Comme je ne pourrai jamais en mettre et que le papier provisoire est valable deux mois, je devrais tous les deux mois passer au contrôle technique, avec une contre-visite systématique", s'indigne-t-il, soulignant au passage que le contrôle dans le garage habilité pour les véhicules GPL (il en existe sur l'île) est dix euros plus cher qu’une visite normale.
Une aberration pour Jean-Eudes Massard, qui a acheté un véhicule "plus économique", mais aussi "plus écologique", les rejets de gaz à effet de serre étant moins importants que pour un véhicule fonctionnant au gazole ou à l'essence.
"Pourquoi un véhicule ne fonctionnant plus au GPL, indépendant de mon bon vouloir, n'est-il pas contrôlé que sur le mode essence puisque celui-ci ne peut fonctionner plus que comme ça ?", questionne-t-il alors.
Il demande ainsi une dérogation, afin que son véhicule puisse passer le contrôle technique "en mode essence". Il indique avoir écrit en ce sens le 7 avril à la Deal ainsi qu'au Président de Région, mais n’avoir reçu à ce jour aucune réponse.
