Jean-Pierre A. trouve un malin plaisir à filmer sous les jupes des femmes, avec un penchant reconnu pour les adolescentes. L’homme guette ses victimes et attend un moment d’inattention pour glisser son smartphone sous les vêtements. Il aurait notamment agi dans des supermarchés du sud, où des vigiles ont vu son petit manège et l’ont dénoncé, indique la presse écrite.
Au tribunal hier, une de ses collègues de la mairie de Tampon s’était constituée partie civile, après qu’une vidéo d’elle soit apparu dans le téléphone du mis en cause. S’il reconnaît les faits et parle de pulsions qu’il ne contrôle plus, l’homme nie s’en être pris à sa collègue.
Face aux gendarmes il a aussi avoué avoir agressé sexuellement sa belle-fille neuf ans plus tôt. L’affaire avait alors été classée sans suite, l’homme sera jugé pour ces faits en mai. La décision de cette première audience sera rendue le 28 février prochain, 10 mois de prison avec sursis ont été requis à son encontre.
Filmer sous les jupes des femmes, il faut qu’elles soient en commun accord avec celui ou celle qui filme, sans dévoiler le visage et dans le plus grand respect.