
Jean-François Maillot ne comprend pas que le gouvernement veuille remettre en cause les exonérations sociales contenues dans la loi de défiscalisation, en vigueur depuis 1986.
Le représentant de petites et moyennes entreprises du BTP et de l’artisanat déplore le peu de crédit que l’on accorde à leurs revendications. De manière implicite, il regrette que l’on n'écoute et n'entend que les grosses entreprises de ce secteur d’activité.
“Nous avons des propositions pour sortir les professionnels du BTP de cette difficile situation économique, il faut mettre toute La Réunion en zone franche”. S’appuyant sur les bons résultats des structures situées dans la Zone franche urbaine de l’Est, initiée par la Cirest, l’Association des acteurs économiques de l’île propose que la formule soit étendue à l’ensemble du département.
Seulement, la loi programme pour l’Outre-mer a exclu le BTP de la future zone franche. Il est vrai qu’à l’époque, l’argumentation du secrétaire d’Etat, chargé de l’Outre-mer était de taille : “il y a déjà la défiscalisation”.
La possible modification de cette loi de 1986, d’une part sur le plafonnement des niches fiscales, et d’autre part la réduction du montant de l’investissement “constructif”, apporte de l’eau au moulin de l’association présidée par Jean-François Maillot.
Rappelons par ailleurs que Jean-Yves Minatchy, président de la Chambre verte, et son équipe travaillent également sur la possibilité de mettre l’agriculture en zone franche.
Le représentant de petites et moyennes entreprises du BTP et de l’artisanat déplore le peu de crédit que l’on accorde à leurs revendications. De manière implicite, il regrette que l’on n'écoute et n'entend que les grosses entreprises de ce secteur d’activité.
“Nous avons des propositions pour sortir les professionnels du BTP de cette difficile situation économique, il faut mettre toute La Réunion en zone franche”. S’appuyant sur les bons résultats des structures situées dans la Zone franche urbaine de l’Est, initiée par la Cirest, l’Association des acteurs économiques de l’île propose que la formule soit étendue à l’ensemble du département.
Seulement, la loi programme pour l’Outre-mer a exclu le BTP de la future zone franche. Il est vrai qu’à l’époque, l’argumentation du secrétaire d’Etat, chargé de l’Outre-mer était de taille : “il y a déjà la défiscalisation”.
La possible modification de cette loi de 1986, d’une part sur le plafonnement des niches fiscales, et d’autre part la réduction du montant de l’investissement “constructif”, apporte de l’eau au moulin de l’association présidée par Jean-François Maillot.
Rappelons par ailleurs que Jean-Yves Minatchy, président de la Chambre verte, et son équipe travaillent également sur la possibilité de mettre l’agriculture en zone franche.