
Condamné à une peine ferme en 2020, Florian a obtenu un aménagement de peine avec l’obtention d’un bracelet électronique. Il loge alors chez son frère et sa belle-soeur. Malheureusement, la cohabitation se passe mal et de plus le couple connaît des difficultés.
Le 10 juillet 2020, son frère et sa compagne se séparent dans une ambiance délétère et le premier quitte définitivement le logement. Florian ne peut alors pas rester chez son ex-belle-soeur. Il a alors l’idée de couper son bracelet électronique, le jeter dans une ravine et reprendre sa liberté.
Les forces de l’ordre mettront près d’un an avant de le retrouver. C’est finalement en juin 2021 qu’ils le retrouvent alcoolisé sur la voie publique. Placé en détention pour purger sa peine, il était donc présenté ce jeudi pour évasion.
"C’est une mesure de confiance octroyée pour permettre la réinsertion et cette confiance a été trahie", souligne la procureure Caroline Calbo. Pour cette raison, elle requiert 6 mois de prison à ajouter à sa peine actuelle qui s’étend jusqu’en juillet.
Son avocate a de son côté défendu "l’inconscience et l’insouciance" du prévenu. Elle explique que durant sa cavale, il a rencontré une femme chez qui il vit et a surtout réussi à trouver un emploi lorsqu’il sortira de détention.
Il a été condamné à une peine de 4 mois de prison sans aménagement qui s’ajoute à sa peine en cours.
Le 10 juillet 2020, son frère et sa compagne se séparent dans une ambiance délétère et le premier quitte définitivement le logement. Florian ne peut alors pas rester chez son ex-belle-soeur. Il a alors l’idée de couper son bracelet électronique, le jeter dans une ravine et reprendre sa liberté.
Les forces de l’ordre mettront près d’un an avant de le retrouver. C’est finalement en juin 2021 qu’ils le retrouvent alcoolisé sur la voie publique. Placé en détention pour purger sa peine, il était donc présenté ce jeudi pour évasion.
"C’est une mesure de confiance octroyée pour permettre la réinsertion et cette confiance a été trahie", souligne la procureure Caroline Calbo. Pour cette raison, elle requiert 6 mois de prison à ajouter à sa peine actuelle qui s’étend jusqu’en juillet.
Son avocate a de son côté défendu "l’inconscience et l’insouciance" du prévenu. Elle explique que durant sa cavale, il a rencontré une femme chez qui il vit et a surtout réussi à trouver un emploi lorsqu’il sortira de détention.
Il a été condamné à une peine de 4 mois de prison sans aménagement qui s’ajoute à sa peine en cours.