
Voilà des années que Stéphane est en conflit ouvert avec ses voisins. Le 31 janvier dernier, le Cilaosien entre dans une nouvelle colère noire nécessitant l’intervention des gendarmes à son domicile. Incapable d’expliquer les raisons de sa nervosité, il invective les forces de l'ordre avant de s’en prendre physiquement à l’un d’eux. "J’ai des douleurs thoraciques et au niveau du bras depuis l’incident", témoigne le militaire, ce mardi, dans le prétoire.
Présent lui aussi, le prévenu paraissait, cette fois-ci, plus enclin à s’expliquer devant le tribunal. "Parfois, j’entends des voix dans ma tête", confie-t-il spontanément, l’air hagard. De quoi laisser songeur le président d’audience sur sa responsabilité pénale. En conséquence, une expertise psychiatrique a vivement été sollicitée à la fois par la partie civile et le représentant du ministère public.
"Il souffre de problèmes de dépression et de paranoïa. Il a des problèmes anciens avec ses voisins. Il a déjà été placé pour cause de maladie mentale", relève son conseil, Me Brigitte Hoarau.
En attente de son nouveau procès, fixé au 25 novembre prochain, le Cilaosien a regagné son domicile.
Présent lui aussi, le prévenu paraissait, cette fois-ci, plus enclin à s’expliquer devant le tribunal. "Parfois, j’entends des voix dans ma tête", confie-t-il spontanément, l’air hagard. De quoi laisser songeur le président d’audience sur sa responsabilité pénale. En conséquence, une expertise psychiatrique a vivement été sollicitée à la fois par la partie civile et le représentant du ministère public.
"Il souffre de problèmes de dépression et de paranoïa. Il a des problèmes anciens avec ses voisins. Il a déjà été placé pour cause de maladie mentale", relève son conseil, Me Brigitte Hoarau.
En attente de son nouveau procès, fixé au 25 novembre prochain, le Cilaosien a regagné son domicile.