
Idriss Issa est l'un des plus fins connaisseurs de la vie politique locale. Poussé vers la sortie par la direction du Quotidien dans le cadre d'un plan économique, il garde tous ses contacts et continue d'écrire pour l'Agence France Presse dont il est le correspondant à la Réunion depuis des années. C'est dire son sérieux. N'est pas correspondant de l'AFP qui veut !
Mais voila, depuis quelques mois qu'il a quitté la rédaction du Quotidien, Idriss s'ennuie. Il a donc proposé à Huguette Bello, si elle le souhaitait, de lui donner un coup de main bénévolement, en relisant certains articles. Il ne va pas jusqu'à écrire les discours de la députée-maire. Non, il se contente de rendre service.
Hier, par exemple, il a relu et corrigé les fautes d'orthographe d'un article sur le conseil municipal des jeunes. Rien de transcendant, mais Idriss, de cette façon, reste dans le circuit et garde le contact avec les élus. On ne sait jamais, ça peut toujours servir.
Il avait proposé ses services, toujours bénévolement, à plusieurs élus, mais seule Huguette Bello a sauté sur l'occasion.
Dommage qu'une telle mémoire de la vie politique à la Réunion (il travaille au Quotidien depuis sa création, il y a 35 ans...) soit inexploitée.
Trente cinq ans de sa vie donnée à son journal, pour être remercié de cette façon...
Mais voila, depuis quelques mois qu'il a quitté la rédaction du Quotidien, Idriss s'ennuie. Il a donc proposé à Huguette Bello, si elle le souhaitait, de lui donner un coup de main bénévolement, en relisant certains articles. Il ne va pas jusqu'à écrire les discours de la députée-maire. Non, il se contente de rendre service.
Hier, par exemple, il a relu et corrigé les fautes d'orthographe d'un article sur le conseil municipal des jeunes. Rien de transcendant, mais Idriss, de cette façon, reste dans le circuit et garde le contact avec les élus. On ne sait jamais, ça peut toujours servir.
Il avait proposé ses services, toujours bénévolement, à plusieurs élus, mais seule Huguette Bello a sauté sur l'occasion.
Dommage qu'une telle mémoire de la vie politique à la Réunion (il travaille au Quotidien depuis sa création, il y a 35 ans...) soit inexploitée.
Trente cinq ans de sa vie donnée à son journal, pour être remercié de cette façon...