
La mise en examen pour des "infractions lors d'une élection" d’Ibrahim Patel, le président de la CCIR, fait ,ce mercredi, réagir le Medef Réunion. L’organisation patronale rappelle ainsi dans un communiqué qu’elle a plaidé depuis 2016 pour "une modification du dispositif électoral" auprès des représentants de l’Etat, "garant du bon fonctionnement des élections à la CCIR".
Le passage au vote électronique permettrait ainsi "d ‘assurer une élection traduisant de façon transparente et réelle la volonté des ressortissants", comme "c’est le cas dans de nombreuses régions métropolitaines". La future Loi PACTE prévoit d’ailleurs un vote électronique obligatoire sur les prochaines élections des Chambres de Commerce, "et le MEDEF Réunion s’en félicite".
Le MEDEF Réunion en appelle également à une représentation de l’Etat au sein de l’institution. "La CCIR se doit de jouer un rôle moteur dans l’accompagnement des entreprises, notamment au travers de la représentativité, tant en secteur d’activité que de taille d’entreprise, et de l’exemplarité de ses élus, le scrutin doit impérativement refléter à la fois le tissu économique et les attentes de l’ensemble des entreprises".
A cette actualité judiciaire s’ajoute les difficultés financières de la Chambre de commerce et d’industrie. En attendant une décision de justice sur les questions de fraudes électorales, l’organisation patronale demande à ce que la CCIR soit placée en urgence sous tutelle de l’Etat.
"La Chambre de Commerce et d’Industrie se doit d’être le reflet de notre développement économique et de nos entreprises, notamment par rapport aux pays de la zone, et se doit de porter nos enjeux au national. Il est par conséquent impératif que cette institution retrouve au plus vite une stabilité et une composition qui lui permette d’assumer pleinement ses missions ".
Le passage au vote électronique permettrait ainsi "d ‘assurer une élection traduisant de façon transparente et réelle la volonté des ressortissants", comme "c’est le cas dans de nombreuses régions métropolitaines". La future Loi PACTE prévoit d’ailleurs un vote électronique obligatoire sur les prochaines élections des Chambres de Commerce, "et le MEDEF Réunion s’en félicite".
Le MEDEF Réunion en appelle également à une représentation de l’Etat au sein de l’institution. "La CCIR se doit de jouer un rôle moteur dans l’accompagnement des entreprises, notamment au travers de la représentativité, tant en secteur d’activité que de taille d’entreprise, et de l’exemplarité de ses élus, le scrutin doit impérativement refléter à la fois le tissu économique et les attentes de l’ensemble des entreprises".
A cette actualité judiciaire s’ajoute les difficultés financières de la Chambre de commerce et d’industrie. En attendant une décision de justice sur les questions de fraudes électorales, l’organisation patronale demande à ce que la CCIR soit placée en urgence sous tutelle de l’Etat.
"La Chambre de Commerce et d’Industrie se doit d’être le reflet de notre développement économique et de nos entreprises, notamment par rapport aux pays de la zone, et se doit de porter nos enjeux au national. Il est par conséquent impératif que cette institution retrouve au plus vite une stabilité et une composition qui lui permette d’assumer pleinement ses missions ".