Ces garanties sont survenues à la suite de ce que l’intersyndicale des transporteurs considère comme des avancées. “Nous avons obtenu certains éléments contenus dans le plan Co.Rail appliqué aux Antilles”, a détaillé Michel Alamèle de l’IPR.
“Nous avons aussi avancé sur le prêt jusqu’à 25.000 € à taux zéro et l’étalement des charges sociales et fiscales. Nous avons rendez-vous jeudi avec Hervé Novelli, ministre des TPE pour discuter de la position des banques”, a affirmé Michel Alamèle.
Ces propositions ont ravi les adhérents de la FNTR, l’Unostra et l’intersyndicale des transporteurs. “La réunion que nous avons eue avec le directeur de cabinet du Premier ministre et le préfet, montre que Paris commence à écouter les petites entreprises de La Réunion”, a dit Joël Mongin.
“Jusqu’à maintenant, nous avons toujours été représentés par La Réunion économique et le Médef. Quand ces gens-là s’expriment, c’est pour défendre leur paroisse. Pourquoi le BTP est dans une telle situation aujourd’hui, c’est parce que les grands patrons n’ont eu qu’une vision du BTP”, assène Joël Mongin.
Sur la vidéo, Michel Alamèle évoque les 370 millions d’€ que le gouvernement a envoyé à La Réunion.
“Nous avons aussi avancé sur le prêt jusqu’à 25.000 € à taux zéro et l’étalement des charges sociales et fiscales. Nous avons rendez-vous jeudi avec Hervé Novelli, ministre des TPE pour discuter de la position des banques”, a affirmé Michel Alamèle.
Ces propositions ont ravi les adhérents de la FNTR, l’Unostra et l’intersyndicale des transporteurs. “La réunion que nous avons eue avec le directeur de cabinet du Premier ministre et le préfet, montre que Paris commence à écouter les petites entreprises de La Réunion”, a dit Joël Mongin.
“Jusqu’à maintenant, nous avons toujours été représentés par La Réunion économique et le Médef. Quand ces gens-là s’expriment, c’est pour défendre leur paroisse. Pourquoi le BTP est dans une telle situation aujourd’hui, c’est parce que les grands patrons n’ont eu qu’une vision du BTP”, assène Joël Mongin.
Sur la vidéo, Michel Alamèle évoque les 370 millions d’€ que le gouvernement a envoyé à La Réunion.