
Le nouveau président malgache, Hery Rajaonarimampianina, a repris mot pour mot lors son discours d'investiture samedi dernier une partie d'un discours de l'ancien président français, Nicolas Sarkozy, prononcé lors de la campagne présidentielle de 2007.
Le plagiat du nouveau locataire du palais présidentiel d'Ambosorohitra était selon les observateurs politiques une étape charnière de son intervention.
Comme le rapporte Le Parisien, le nouveau président malgache a abordé avec la force de l'émotion la philosophie politique de sa mandature, avec comme pierre angulaire la réconciliation nationale de Madagascar, après cinq années de luttes intestines au sommet de l'Etat.
Hery Rajaonarimampianina a ainsi déclaré à la tribune : "Je demande à mes amis qui m'ont accompagné jusqu'ici de me laisser libre, libre d'aller vers les autres, vers celui qui n'a jamais été mon ami, qui n'a jamais appartenu à notre camp, à notre famille politique, qui parfois nous a combattus. Parce que lorsqu'il s'agit de Madagascar, il n'y a plus de camp".
Nicolas Sarkozy avait déjà eu les mêmes mots à la Mutualité à Paris, en février 2007, en parlant de la France.
Le plagiat du nouveau locataire du palais présidentiel d'Ambosorohitra était selon les observateurs politiques une étape charnière de son intervention.
Comme le rapporte Le Parisien, le nouveau président malgache a abordé avec la force de l'émotion la philosophie politique de sa mandature, avec comme pierre angulaire la réconciliation nationale de Madagascar, après cinq années de luttes intestines au sommet de l'Etat.
Hery Rajaonarimampianina a ainsi déclaré à la tribune : "Je demande à mes amis qui m'ont accompagné jusqu'ici de me laisser libre, libre d'aller vers les autres, vers celui qui n'a jamais été mon ami, qui n'a jamais appartenu à notre camp, à notre famille politique, qui parfois nous a combattus. Parce que lorsqu'il s'agit de Madagascar, il n'y a plus de camp".
Nicolas Sarkozy avait déjà eu les mêmes mots à la Mutualité à Paris, en février 2007, en parlant de la France.