
Déposer ses bouchons dans un lieu de collecte comme une déchetterie, une école ou encore une mairie annexe sur le territoire de la CINOR permettra à des personnes en situation de handicap de pouvoir acquérir le matériel nécessaire pour faire du sport. C’est en effet le but de l’association Handi Bouchons Réunion qui récupère le plus de bouchons possibles depuis 10 ans.
Pour en faire quoi ? Thomas Noël, président de l’association explique : "La société Cycléa nous donne 150 euros par tonne de bouchons livrés chez eux et avec cet argent, nous finançons des projets collectifs pour aider les personnes handicapées à faire du sport". Mais avec une douzaine de tonnes de bouchons par an, impossible d’acheter un fauteuil de sport qui coûterait 2000 euros. "Nous avons récemment, par exemple, acheté 3000 euros de matériel pour une association de Saint-Benoît qui organisait des activités de précision pour des personnes fortement handicapées".
La CINOR a donc signé une convention de partenariat ce lundi avec Handi Bouchons pour que des bacs soient installés dans plusieurs lieux de collecte, comme c’est désormais le cas à la déchetterie de Sainte-Clotilde. "Ce partenariat avec les collectivités, c’est ce qu’on rechercher depuis longtemps, avoue Thomas Noël, car de toutes les bouteilles consommées, on ne reçoit que 10% des bouchons".
"C’est à la fois un geste civique, de solidarité, environnemental et économique, affirme Yvette Duchemann, vice-présidente de la CINOR, le recyclage de bouchons rend moins dépendant aux énergies fossiles car le plastique se recycle à l’infini. Et en plus de cela, ça s’inscrit dans l’économie circulaire".
Pour rappel, cette signature s’inscrit dans la Semaine européenne de la réduction des déchets qui a commencé samedi.
Pour en faire quoi ? Thomas Noël, président de l’association explique : "La société Cycléa nous donne 150 euros par tonne de bouchons livrés chez eux et avec cet argent, nous finançons des projets collectifs pour aider les personnes handicapées à faire du sport". Mais avec une douzaine de tonnes de bouchons par an, impossible d’acheter un fauteuil de sport qui coûterait 2000 euros. "Nous avons récemment, par exemple, acheté 3000 euros de matériel pour une association de Saint-Benoît qui organisait des activités de précision pour des personnes fortement handicapées".
La CINOR a donc signé une convention de partenariat ce lundi avec Handi Bouchons pour que des bacs soient installés dans plusieurs lieux de collecte, comme c’est désormais le cas à la déchetterie de Sainte-Clotilde. "Ce partenariat avec les collectivités, c’est ce qu’on rechercher depuis longtemps, avoue Thomas Noël, car de toutes les bouteilles consommées, on ne reçoit que 10% des bouchons".
"C’est à la fois un geste civique, de solidarité, environnemental et économique, affirme Yvette Duchemann, vice-présidente de la CINOR, le recyclage de bouchons rend moins dépendant aux énergies fossiles car le plastique se recycle à l’infini. Et en plus de cela, ça s’inscrit dans l’économie circulaire".
Pour rappel, cette signature s’inscrit dans la Semaine européenne de la réduction des déchets qui a commencé samedi.