Les élus de la majorité municipale de Saint-Louis tenaient ce lundi matin à réaffirmer, sous forme de courrier, leur "soutien" au maire actuel et à Cyrille Hamilcaro suite à sa mise en examen le 9 décembre dernier pour complicité de prise illégale d'intérêts et poursuite irrégulière d'un statut d'élu public. "Nous avons été choqués de voir un ancien maire, ancien président du Conseil général, ancien vice-président de communauté d’agglomération, menotté !", s’offusque Emmanuelle Sinacouty, première adjointe et vice-présidente du CCAS, en tête de liste de ces soutiens.
"Une image humiliante" qui fait suite à des reproches "qui n’ont pas la gravité que l’on veut faire croire à la population", jugent-ils.
34 élus de la majorité à l’exception de Thierry Vaïtilimgom affichent leur "solidarité" suite à la mise en examen de celui qui était sollicité "pour nous conseiller, nous orienter, nous tempérer ou nous guider dans nos actions" mais qui l’a toujours fait, assurent-ils, en exigeant "que nous soyons les seuls à décider". Un rôle qu’il tenait également pour une "grande majorité de la population" mais aussi auprès de l’Etat "lorsqu’il mettait son expérience et sa connaissance du territoire au service de l’intérêt général et de l’ordre public".
Mise à mal, la majorité municipale impute cette situation à un "jeu mené par certains agents et cadres municipaux" dans le but de "déstabiliser et détruire notre groupe majoritaire". Un "jeu" auquel ils répondent par "un seul mot d'ordre: respect au maire actuel, loyauté à l'ancien maire et fermeté avec les opposants et les traitres!"
"Une image humiliante" qui fait suite à des reproches "qui n’ont pas la gravité que l’on veut faire croire à la population", jugent-ils.
34 élus de la majorité à l’exception de Thierry Vaïtilimgom affichent leur "solidarité" suite à la mise en examen de celui qui était sollicité "pour nous conseiller, nous orienter, nous tempérer ou nous guider dans nos actions" mais qui l’a toujours fait, assurent-ils, en exigeant "que nous soyons les seuls à décider". Un rôle qu’il tenait également pour une "grande majorité de la population" mais aussi auprès de l’Etat "lorsqu’il mettait son expérience et sa connaissance du territoire au service de l’intérêt général et de l’ordre public".
Mise à mal, la majorité municipale impute cette situation à un "jeu mené par certains agents et cadres municipaux" dans le but de "déstabiliser et détruire notre groupe majoritaire". Un "jeu" auquel ils répondent par "un seul mot d'ordre: respect au maire actuel, loyauté à l'ancien maire et fermeté avec les opposants et les traitres!"