
La proposition de l’Union des chefs d’entreprises de Guadeloupe (UCEG) faire supporter à part égale 100 € de hausse de salaire, a eu une réponse positive des collectivités locales.
Jacques Gillot, président du Conseil général, et Victorin Lurel, président du Conseil régional, ont précisé que leur participation de 50 €, sera limitée dans le temps. Elle n’excèdera pas un an, pour un investissement de 24 millions d’€.
Les autres 100 € des 200 € d’augmentation de salaire net sur laquelle butent les négociations, seraient alors financés par l’Etat. L’UCEG suggère que l’Etat suspend la CSG et le RDS, pour un délai de trois ans. Mais l’Etat va-t-il accepter cette proposition ?
Le préfet de la Guadeloupe a déjà apporté un premier élément de réponse. Sur le site du quotidien national Le Monde, Nicolas Desforges “rappelle que l’Etat n’a pas à financer les augmentations de salaire dans le privé, ce serait la fin du système social français”.
En face, Elie Domota, responsable du LKP, ne veut pas croire que “l’Etat va encore se débiner”. En cas de nouvel échec, le chef de file de la contestation guadeloupéenne pose des préalables, des menaces à peines voilées. “Si nous n’avons pas de réponse, les choses ne pourront que s’envenimer”.
Les négociations reprendront aujourd’hui à 11 heures en Guadeloupe (19 heures à La Réunion).
Jacques Gillot, président du Conseil général, et Victorin Lurel, président du Conseil régional, ont précisé que leur participation de 50 €, sera limitée dans le temps. Elle n’excèdera pas un an, pour un investissement de 24 millions d’€.
Les autres 100 € des 200 € d’augmentation de salaire net sur laquelle butent les négociations, seraient alors financés par l’Etat. L’UCEG suggère que l’Etat suspend la CSG et le RDS, pour un délai de trois ans. Mais l’Etat va-t-il accepter cette proposition ?
Le préfet de la Guadeloupe a déjà apporté un premier élément de réponse. Sur le site du quotidien national Le Monde, Nicolas Desforges “rappelle que l’Etat n’a pas à financer les augmentations de salaire dans le privé, ce serait la fin du système social français”.
En face, Elie Domota, responsable du LKP, ne veut pas croire que “l’Etat va encore se débiner”. En cas de nouvel échec, le chef de file de la contestation guadeloupéenne pose des préalables, des menaces à peines voilées. “Si nous n’avons pas de réponse, les choses ne pourront que s’envenimer”.
Les négociations reprendront aujourd’hui à 11 heures en Guadeloupe (19 heures à La Réunion).