Depuis le 31 décembre, près d’un millier de personnels, dont 631 personnels soignants, ont été suspendus en Guadeloupe pour ne pas avoir respecté l’obligation vaccinale. Une obligation qui avait provoqué une vague de violences en novembre.
Pour calmer la crise sociale, le gouvernement avait proposé la levée de la suspension des personnels non-vaccinés et de leur rémunération pour ceux qui acceptent un accompagnement personnel vers un reclassement. Ils sont 129 à avoir accepté une reconversion professionnelle pour ne pas se faire vacciner.
Ceux qui ont accepté cette démarche obtiennent une rupture conventionnelle où la surrémunération des fonctionnaires (40% en Guadeloupe) sera prise en compte. Ils peuvent également se diriger vers un congé de formation.
Ceux qui refusent cet accompagnement pourront utiliser le « droit commun ». Ils pourront demander la rupture conventionnelle, mais sans la surrémunération.
Pour calmer la crise sociale, le gouvernement avait proposé la levée de la suspension des personnels non-vaccinés et de leur rémunération pour ceux qui acceptent un accompagnement personnel vers un reclassement. Ils sont 129 à avoir accepté une reconversion professionnelle pour ne pas se faire vacciner.
Ceux qui ont accepté cette démarche obtiennent une rupture conventionnelle où la surrémunération des fonctionnaires (40% en Guadeloupe) sera prise en compte. Ils peuvent également se diriger vers un congé de formation.
Ceux qui refusent cet accompagnement pourront utiliser le « droit commun ». Ils pourront demander la rupture conventionnelle, mais sans la surrémunération.