

Dans un communiqué, il remercie "les instances qui, avec la cellule de crise, ont œuvré pour cette libération, dont le ministère français des Affaires étrangères et européennes, le gouvernement nigérian et les autorités locales (police, forces spéciales SSS et forces armées nigérianes JTF)", précisant que "pour raison de confidentialité et pour préserver les familles, aucun élément sur les revendications, le contexte, les membres d'équipage libérés, leurs proches ou leur date de retour en France ne pourra être communiqué".
Il reste dix Français retenus à l'étranger, deux au Nigeria, cinq au Niger (otage de l'organisation Aqmi appartenant à Al-Qaïda), un agent des services de renseignements en Somalie et deux journalistes Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier retenus en Afghanistan depuis le 30 décembre 2009.