Pas moins d’une trentaine de chefs d’entreprises se sont mobilisés ce matin devant le siège du groupe Apavou à Saint-Denis. "On est là pour montrer que ce n’est pas peine perdue, on est là pour encourager le groupe".
Parmi eux, des représentants sous-traitants dans le BTP, alors que les bâtiments du siège à l’immeuble Futura font face au chantier du nouveau programme "Central Parc" du groupe, qui n'est que partiellement sorti de terre.
Parmi eux, des représentants sous-traitants dans le BTP, alors que les bâtiments du siège à l’immeuble Futura font face au chantier du nouveau programme "Central Parc" du groupe, qui n'est que partiellement sorti de terre.
Depuis la semaine dernière et l’annonce de la liquidation du groupe, les ouvriers sont à l’arrêt.
Les sous-traitants connaissent bien la réputation du groupe, et malgré les problèmes de paiement, ils défendent la direction coûte que coûte.
"On savait comment c'était"
"On travaillait depuis la semaine dernière et le groupe Apavou nous a demandé d’arrêter. Même avec des difficultés de paiement, monsieur Apavou nous a toujours donné de quoi continuer le chantier. On est conscients qu’avec le groupe Apavou on était payés au goutte à goutte. On savait comment c’était mais on n’était pas cadenassés".
Tout comme la manifestation de soutien spontanée la semaine dernière par les salariés du groupe, la sauvegarde des emplois est mise en avant. "On veut pouvoir continuer et garder nos emplois. Avec ce nouveau programme Central Parc, c’est dommage, ça fait deux ans qu’on travaille dessus. Ça n’a pas été facile, il y a eu des hauts et des bas. Mais aujourd’hui on en est là, et on ne peut pas tout balayer d’un coup."
Toujours est-il que le paiement du chantier a été régulé jusqu’à la fin d’année dernière. Les derniers paiements n’ont quant à eux pas encore été faits. En attendant, l’annonce de la décision de la procédure en appel sera rendue le 20 mars prochain.
Les sous-traitants connaissent bien la réputation du groupe, et malgré les problèmes de paiement, ils défendent la direction coûte que coûte.
"On savait comment c'était"
"On travaillait depuis la semaine dernière et le groupe Apavou nous a demandé d’arrêter. Même avec des difficultés de paiement, monsieur Apavou nous a toujours donné de quoi continuer le chantier. On est conscients qu’avec le groupe Apavou on était payés au goutte à goutte. On savait comment c’était mais on n’était pas cadenassés".
Tout comme la manifestation de soutien spontanée la semaine dernière par les salariés du groupe, la sauvegarde des emplois est mise en avant. "On veut pouvoir continuer et garder nos emplois. Avec ce nouveau programme Central Parc, c’est dommage, ça fait deux ans qu’on travaille dessus. Ça n’a pas été facile, il y a eu des hauts et des bas. Mais aujourd’hui on en est là, et on ne peut pas tout balayer d’un coup."
Toujours est-il que le paiement du chantier a été régulé jusqu’à la fin d’année dernière. Les derniers paiements n’ont quant à eux pas encore été faits. En attendant, l’annonce de la décision de la procédure en appel sera rendue le 20 mars prochain.