
Neuf centres de vaccination parmi lesquels, Saint-Denis, Saint-Benoît, le Tampon ou Saint-Paul ouvriront leurs portes demain aux 48.000 Réunionnais dits "prioritaires" selon Marie Payrard dans les colonnes du Journal de l'île de ce mercredi.
Ce groupe de personnes, dont la vaccination doit se faire en priorité est composé de personnel d'accueil de la petite enfance, des proches des nourrissons âgés de moins de 6 mois et des femmes en cours de grossesse.
Toujours selon le JIR, on apprend que ces personnes ont reçu un bon de vaccination pour deux injections. Ce sont donc près de 100.000 injections qui seront réalisées par 265 professionnels de la santé dont une quarantaine de médecins. Par ailleurs, un formulaire médical devra être rempli après une prise d'informations auprès du public concerné.
Il s'agit du "moyen le plus efficace" pour se protéger contre cette épidémie souligne le docteur Jean-François Moniotte dans les lignes du Journal de l'île.
Toujours est-il que ce sont les personnes fragiles et présentant des problèmes de santé qui seront prioritaires pour cette première phase de vaccinations. Des vaccinations dont il ne fait nul doute qu'elles n'attireront pas les Réunionnais en masse eu égard des vives critiques formulées depuis plusieurs mois localement.
Ce groupe de personnes, dont la vaccination doit se faire en priorité est composé de personnel d'accueil de la petite enfance, des proches des nourrissons âgés de moins de 6 mois et des femmes en cours de grossesse.
Toujours selon le JIR, on apprend que ces personnes ont reçu un bon de vaccination pour deux injections. Ce sont donc près de 100.000 injections qui seront réalisées par 265 professionnels de la santé dont une quarantaine de médecins. Par ailleurs, un formulaire médical devra être rempli après une prise d'informations auprès du public concerné.
Il s'agit du "moyen le plus efficace" pour se protéger contre cette épidémie souligne le docteur Jean-François Moniotte dans les lignes du Journal de l'île.
Toujours est-il que ce sont les personnes fragiles et présentant des problèmes de santé qui seront prioritaires pour cette première phase de vaccinations. Des vaccinations dont il ne fait nul doute qu'elles n'attireront pas les Réunionnais en masse eu égard des vives critiques formulées depuis plusieurs mois localement.