
La grippe A H1N1 va-t-elle perturber la rentrée scolaire ? En tout cas, si l’on se réfère au principe de précaution, le Rectorat devrait proposer à la Préfecture le report de la rentrée des classes. Car, si à chaque cas déclaré et avéré de la grippe A H1N1, l’établissement scolaire doit être évacué, cela va nécessiter un dispositif exceptionnel, ne serait-ce que pour le transport scolaire.
La décision ne sera pas simple ni pour le recteur Mostafa Fourar, ni pour la Drass et encore moins pour la Préfecture. Mais à qui la faute ? Qui a de véritables motivations pour faire d’une grippe somme toute bénigne, une épidémie qui nécessitera un vaccin obligatoire au cours du dernier trimestre de cette année ?
La polémique sur cette interrogation, a débuté il y a quelques jours déjà. Sous le titre “la pandémie indécente ou hypocrite”, la presse nationale a posé la question en maintes occasions. Il y a ce qui peut-être un début de réponse sur le site “Le Pouvoir mondial” (http://www.lepouvoirmondial.com/manipulations_des_masses).
L'ombre des lobbies pharmaceutiques
Dans un article publié ce dimanche 26 juillet et intitulé : “L'OMS avance en secret pour mener à bien son projet de vaccination obligatoire et son programme démographique”, le site dénonce le projet des lobbies des laboratoires pharmaceutiques : faire croire que le virus va muter en automne pour pouvoir vendre son vaccin à 194 pays dans le monde.
Ce serait pour cette raison que les réseaux d’informations et de communications liés à ces lobbies entretiennent la peur et la psychose. Vrai ou faux ? Il est difficile d’apporter une réponse avec certitude. Quoi qu’il en soit, un scénario catastrophe se met peu à peu en place : Ne plus se serrer la main, ne plus se faire la bise, éviter tout contact humain…
Eviter les sports de contact, la natation, les matches de foot et tout autre sport collectif, les transports en commun ou taxis, les salles de classe, les cours de récréation, les salles d’attente des urgences, des hôpitaux et des cabinets médicaux, les lieux de culte, le confessionnal, les boîtes de nuit, les clubs échangistes, les soirées privées (y compris les partouzes)…
Le principe de précaution s'impose, sinon vous allez attraper un méchant virus. Et en automne, vous aurez le nez qui coule et une grosse seringue dans les fesses…
La décision ne sera pas simple ni pour le recteur Mostafa Fourar, ni pour la Drass et encore moins pour la Préfecture. Mais à qui la faute ? Qui a de véritables motivations pour faire d’une grippe somme toute bénigne, une épidémie qui nécessitera un vaccin obligatoire au cours du dernier trimestre de cette année ?
La polémique sur cette interrogation, a débuté il y a quelques jours déjà. Sous le titre “la pandémie indécente ou hypocrite”, la presse nationale a posé la question en maintes occasions. Il y a ce qui peut-être un début de réponse sur le site “Le Pouvoir mondial” (http://www.lepouvoirmondial.com/manipulations_des_masses).
L'ombre des lobbies pharmaceutiques
Dans un article publié ce dimanche 26 juillet et intitulé : “L'OMS avance en secret pour mener à bien son projet de vaccination obligatoire et son programme démographique”, le site dénonce le projet des lobbies des laboratoires pharmaceutiques : faire croire que le virus va muter en automne pour pouvoir vendre son vaccin à 194 pays dans le monde.
Ce serait pour cette raison que les réseaux d’informations et de communications liés à ces lobbies entretiennent la peur et la psychose. Vrai ou faux ? Il est difficile d’apporter une réponse avec certitude. Quoi qu’il en soit, un scénario catastrophe se met peu à peu en place : Ne plus se serrer la main, ne plus se faire la bise, éviter tout contact humain…
Eviter les sports de contact, la natation, les matches de foot et tout autre sport collectif, les transports en commun ou taxis, les salles de classe, les cours de récréation, les salles d’attente des urgences, des hôpitaux et des cabinets médicaux, les lieux de culte, le confessionnal, les boîtes de nuit, les clubs échangistes, les soirées privées (y compris les partouzes)…
Le principe de précaution s'impose, sinon vous allez attraper un méchant virus. Et en automne, vous aurez le nez qui coule et une grosse seringue dans les fesses…