Sur le piquet de grève devant la préfecture de Saint-Denis ce matin, environ 400 grévistes sont mobilisés : pompiers, enseignants, employés des services des impôts... Ce sont notamment les employés de l'Etat qui se sont donnés rendez-vous mais le privé est moins présent.
"600 milliards planqués dans les paradis fiscaux", indique Paul Junot, porte-parole de la CFTC. "10% de cette somme suffiraient pour rééquilibrer le régime des retraites jusqu'en 2050" et éviter de remettre en question le départ en retraite à 60 ans. "L'Etat est soumis au dictat des finances", insiste-t-il. Pour lui, il s'agit aussi de "libérer la place sur le marché de l'emploi pour les plus jeunes".
"Que les stock-options soient imposables", suggère Jean-Claude Bénard, membre de Solidaire et porte-parole du Snui. "On ponctionne toujours les plus faibles", s'indigne t-il. Et pourquoi pas "réviser les exonérations des sociétés", suggère le syndicaliste.
A noter que 90% des employés des services des impôts qui sont en grève selon les syndicalistes.
"600 milliards planqués dans les paradis fiscaux", indique Paul Junot, porte-parole de la CFTC. "10% de cette somme suffiraient pour rééquilibrer le régime des retraites jusqu'en 2050" et éviter de remettre en question le départ en retraite à 60 ans. "L'Etat est soumis au dictat des finances", insiste-t-il. Pour lui, il s'agit aussi de "libérer la place sur le marché de l'emploi pour les plus jeunes".
"Que les stock-options soient imposables", suggère Jean-Claude Bénard, membre de Solidaire et porte-parole du Snui. "On ponctionne toujours les plus faibles", s'indigne t-il. Et pourquoi pas "réviser les exonérations des sociétés", suggère le syndicaliste.
A noter que 90% des employés des services des impôts qui sont en grève selon les syndicalistes.