
Ce matin, devant l'antenne du Conseil général du Tampon, se tenait, à l'appel de la CGTR-Conseil général, une grève des travailleurs sociaux du Tampon. Ces derniers déplorent des conditions de travail déplorables.
"Nos conditions de travail sont inadmissibles, les locaux sont dégradés, ça génère de la promiscuité", déclare Eric Romano, porte-parole du mouvement. Il réclame des moyens pour exercer un travail éducatif plus efficace. "Ces locaux ne sont plus adaptés à l’accueil du public", renchérit-il.
Le second point de motivation des grévistes est le souhait d’une réflexion sociale sur l’enfance dans la politique départementale. Eric Romano rappelle que le 14 décembre de l’année précédente, ils avaient aussi manifesté pour des questions similaires. "En une année, les choses n’ont pas évolué, sinon très peu, et aujourd’hui à cette date symbolique du 14 décembre, on a décidé de montrer encore une fois notre insatisfaction". Il ajoute : "On ne veut plus de promesses, on veut des actions !".
Les grévistes attendent une réponse du Conseil général, "les négociations sont ouvertes, si rien n’est fait avant la fin janvier 2013, on appellera à une mobilisation générale", menace le porte-parole.
"Nos conditions de travail sont inadmissibles, les locaux sont dégradés, ça génère de la promiscuité", déclare Eric Romano, porte-parole du mouvement. Il réclame des moyens pour exercer un travail éducatif plus efficace. "Ces locaux ne sont plus adaptés à l’accueil du public", renchérit-il.
Le second point de motivation des grévistes est le souhait d’une réflexion sociale sur l’enfance dans la politique départementale. Eric Romano rappelle que le 14 décembre de l’année précédente, ils avaient aussi manifesté pour des questions similaires. "En une année, les choses n’ont pas évolué, sinon très peu, et aujourd’hui à cette date symbolique du 14 décembre, on a décidé de montrer encore une fois notre insatisfaction". Il ajoute : "On ne veut plus de promesses, on veut des actions !".
Les grévistes attendent une réponse du Conseil général, "les négociations sont ouvertes, si rien n’est fait avant la fin janvier 2013, on appellera à une mobilisation générale", menace le porte-parole.