
Les dockers de la Sermat (Service maintenance assistance technique) entament ce lundi leur quatrième jour de grève. Comme il y a deux mois, date de leur dernière mobilisation, les containers restent une nouvelle fois bloqués au Port Est.
Didier Thomas, représentant syndical CGTR, affiche sa ferme intention d'obtenir une rencontre avec leur direction dans les prochaines heures. "Une réunion est prévue pour le 15, mais évidemment nous espérons ne pas rester là jusqu'au 15 mai", rigole-t-il.
"Pour l'heure, aucune autre réunion n'est programmée", en tout cas, pas dans l'immédiat. Les employés de la Sermat désespèrent toujours de voir le contrat de maintenance des chariots cavaliers et des portiques filer vers la société Kalmar.
Il y a deux mois, et après cinq jours de mobilisation, direction et salariés s'étaient entendus pour que l'opportunité d'une cession du marché de maintenance soit de nouveau étudiée. Les négociations devaient s'achever au 26 avril mais les salariés n'ont d'obtenu aucun retour de leur hiérarchie, signalent-ils. Les 43 employés restent en grève illimitée et stationnent devant les grilles de l'enceinte du Port Est. Une impression de déjà vu.
Didier Thomas, représentant syndical CGTR, affiche sa ferme intention d'obtenir une rencontre avec leur direction dans les prochaines heures. "Une réunion est prévue pour le 15, mais évidemment nous espérons ne pas rester là jusqu'au 15 mai", rigole-t-il.
"Pour l'heure, aucune autre réunion n'est programmée", en tout cas, pas dans l'immédiat. Les employés de la Sermat désespèrent toujours de voir le contrat de maintenance des chariots cavaliers et des portiques filer vers la société Kalmar.
Il y a deux mois, et après cinq jours de mobilisation, direction et salariés s'étaient entendus pour que l'opportunité d'une cession du marché de maintenance soit de nouveau étudiée. Les négociations devaient s'achever au 26 avril mais les salariés n'ont d'obtenu aucun retour de leur hiérarchie, signalent-ils. Les 43 employés restent en grève illimitée et stationnent devant les grilles de l'enceinte du Port Est. Une impression de déjà vu.