
La cuisine centrale de la commune est toujours bloquée
La réunion de négociation s'est achevée à 19h45 hier alors qu'elle avait débuté à 16h30. A la sortie, les représentants syndicaux de la SAFPTR se sont dits désabusés par les propositions "honteuses" de la mairie.
"Là où nous réclamions une revalorisation de salaire portée à 1.500 euros net, la mairie a proposé une revalorisation allant de 1.150 à 1.300 euros pour les personnes de plus de trente ans de service. Nous refusons" dit clairement Jean-Pierre Lallemand, président départemental de la SAFPTR.
Plus loin, d'autres agents communaux se lâchent davantage. "Ce sont des propositions honteuses pour une équipe qui se dit communiste". En ligne de mire, ces derniers évoquent les cas, nombreux, de cantinières notamment qui plafonnent à 700 euros mois après trente ans de service.
L'équation du 1er adjoint, Jean-Marc Gamarus, est tout aussi imparable. Certes le salaire oscille entre 600 et 700 euros mais il correspond à des postes à temps partiel. Dans un scénario fictif, à temps complet, ces employés seraient à hauteur du Smic.
Le cas du DGS revient dans beaucoup de conversations
Alors que l'UNSA, et la CGTR, les deux syndicats majeurs à Saint-Paul, rejoints par la CFTC, ont approuvé les propositions municipales, le SAFPTR devrait être moins esseulé à partir d'aujourd'hui puisqu'il sera rejoint par FO et la CFDT qui ne devraient pas être de trop pour faire avancer les revendications des grévistes. Depuis mardi, ce sont surtout la cuisine centrale et les services techniques de la ville qui sont totalement, pour la première, et partiellement touchés pour les seconds.
La revalorisation des salaires a accaparé l'essentiel des trois heures de la réunion. Les huit autres revendications mentionnées sur le préavis de grève du mercredi 8 juin seront abordées une prochaine fois.
Parmi elles, une devrait faire désordre. Sous l'intitulé "reconnaissance et considération des agents communaux", ces derniers parlaient ces derniers jours de "pression sur le personnel" et pointaient du doigt le DGS Alain Payet.
"Là où nous réclamions une revalorisation de salaire portée à 1.500 euros net, la mairie a proposé une revalorisation allant de 1.150 à 1.300 euros pour les personnes de plus de trente ans de service. Nous refusons" dit clairement Jean-Pierre Lallemand, président départemental de la SAFPTR.
Plus loin, d'autres agents communaux se lâchent davantage. "Ce sont des propositions honteuses pour une équipe qui se dit communiste". En ligne de mire, ces derniers évoquent les cas, nombreux, de cantinières notamment qui plafonnent à 700 euros mois après trente ans de service.
L'équation du 1er adjoint, Jean-Marc Gamarus, est tout aussi imparable. Certes le salaire oscille entre 600 et 700 euros mais il correspond à des postes à temps partiel. Dans un scénario fictif, à temps complet, ces employés seraient à hauteur du Smic.
Le cas du DGS revient dans beaucoup de conversations
Alors que l'UNSA, et la CGTR, les deux syndicats majeurs à Saint-Paul, rejoints par la CFTC, ont approuvé les propositions municipales, le SAFPTR devrait être moins esseulé à partir d'aujourd'hui puisqu'il sera rejoint par FO et la CFDT qui ne devraient pas être de trop pour faire avancer les revendications des grévistes. Depuis mardi, ce sont surtout la cuisine centrale et les services techniques de la ville qui sont totalement, pour la première, et partiellement touchés pour les seconds.
La revalorisation des salaires a accaparé l'essentiel des trois heures de la réunion. Les huit autres revendications mentionnées sur le préavis de grève du mercredi 8 juin seront abordées une prochaine fois.
Parmi elles, une devrait faire désordre. Sous l'intitulé "reconnaissance et considération des agents communaux", ces derniers parlaient ces derniers jours de "pression sur le personnel" et pointaient du doigt le DGS Alain Payet.