
Les bureaux de Poste de l'île tournent au ralenti depuis ce matin. En cause, le mouvement de grève départemental enclenché ce mardi par l'intersyndicale (CGTR, Sud PTT, FO, CFDT et Unsa). Résultat, c'est service minimum dans les différents bureaux de l'île.
Tout découle de la grève en cours depuis neuf jours au centre de tri de Sainte-Clotilde. Les syndicats dénoncent un "projet de réorganisation" sans concertation avec les employés et sections syndicales. Malgré de nombreuses réunions de concertation avec les direction, les deux parties restent campées sur leurs positions.
Une impasse qui a conduit la direction de la Poste à réclamer l'intervention d'un médiateur dans le conflit. Les différentes parties devraient être reçues dans le courant de la journée. Mais les syndicats entendent ne rien lâcher. Ce matin, ils étaient plus de 100 employés de la Poste a être mobilisés devant le siège de la direction situé rue Maréchal Leclerc à Saint-Denis.
Des organisations syndicales qui ne changent pas d'un iota dans leurs revendications. Une mise en parenthèse du projet de réorganisation, l'arrêt des surpressions de postes et la fin des "mauvaises conditions de travail" au sein de la Poste.
Tout découle de la grève en cours depuis neuf jours au centre de tri de Sainte-Clotilde. Les syndicats dénoncent un "projet de réorganisation" sans concertation avec les employés et sections syndicales. Malgré de nombreuses réunions de concertation avec les direction, les deux parties restent campées sur leurs positions.
Une impasse qui a conduit la direction de la Poste à réclamer l'intervention d'un médiateur dans le conflit. Les différentes parties devraient être reçues dans le courant de la journée. Mais les syndicats entendent ne rien lâcher. Ce matin, ils étaient plus de 100 employés de la Poste a être mobilisés devant le siège de la direction situé rue Maréchal Leclerc à Saint-Denis.
Des organisations syndicales qui ne changent pas d'un iota dans leurs revendications. Une mise en parenthèse du projet de réorganisation, l'arrêt des surpressions de postes et la fin des "mauvaises conditions de travail" au sein de la Poste.