
Photo d'archive
Ce matin, les syndicats de l'enseignement se donnent rendez-vous devant le rectorat pour dire "stop" aux suppressions de postes dans l’Éducation nationale. Un mouvement qui concerne également le projet de décret sur l'évaluation des enseignants, projet fortement décrié.
Les principales forces syndicales se retrouvent à partir de 10 heures devant le rectorat à Sainte-Denis. Un mouvement de grève national, relayé localement par la CGTR, pour que les suppressions de 161 postes cette année (69 dans les écoles, 87 dans les collèges et lycées et 5 postes dans l'administratif) soient abandonnées.
La principale raison invoquée par les syndicats pour stopper ces suppressions: la particularité de la Réunion en matière de besoin dans l'enseignement, liée à une démographie forte. "Notre académie sera une nouvelle fois mise à contribution au nom de l'effort national (…). Mais nous présentons des particularités fortes, comme la Guyane, et nous aurions dû être placée en zone 0 suppression de postes", explique Patrick Corré, secrétaire départemental de la CGTR Educ'action.
Les principales forces syndicales se retrouvent à partir de 10 heures devant le rectorat à Sainte-Denis. Un mouvement de grève national, relayé localement par la CGTR, pour que les suppressions de 161 postes cette année (69 dans les écoles, 87 dans les collèges et lycées et 5 postes dans l'administratif) soient abandonnées.
La principale raison invoquée par les syndicats pour stopper ces suppressions: la particularité de la Réunion en matière de besoin dans l'enseignement, liée à une démographie forte. "Notre académie sera une nouvelle fois mise à contribution au nom de l'effort national (…). Mais nous présentons des particularités fortes, comme la Guyane, et nous aurions dû être placée en zone 0 suppression de postes", explique Patrick Corré, secrétaire départemental de la CGTR Educ'action.