Ce matin, devant le siège du Pôle Emploi, à Sainte-Clotilde, quelques agents se sont réunis de nouveau pour maintenir la pression face à la direction, sous un soleil plombant. Décidée la veille, la reprise des négociations s'est déroulée ce matin entre l'intersyndicale et la direction.
Mais dans le parking, d'autres se sont invités aux hostilités... quelques membres de l'association "Agir contre le chômage", présidée par Jean-Pierre Técher. "Contrairement à ce qu'affirme le directeur du Pôle Emploi, de nombreux demandeurs d'emploi sont victimes de ce mouvement de grève des agents qui dure depuis deux semaines", affirme le président.
Jean-Pierre Técher a notamment rappelé que 25.000 entretiens sont en attente et que 8.500 personnes n'ont pas encore été payées, informations qu'il dit avoir obtenu des services concernés. Des chiffres que le directeur du Pôle Emploi réfute.
Pour faire entendre ces doléances, une délégation de membres de l'association a souhaité, ce matin, être reçue par le directeur, Jean-Luc Minatchy. Sauf que le courrier ayant été envoyé mardi, la direction n'avait pas eu le temps de le recevoir... Finalement, profitant d'une suspension de séance dans les négociations décidée par l'intersyndicale, le directeur a accepté de recevoir cette autre délégation.
Une possible issue du conflit, aujourd'hui
Peu de chômeurs étaient finalement présents ce matin. Un constat que Jean-Pierre Técher justifie clairement : "Les chômeurs sont traités comme des 'carapates su tété bœuf', comme des gens qui profitent de la société, comme des paresseux. Il est, du coup, difficile de les encourager à venir manifester. Mais nous sommes là pour les représenter".
Finalement, les discussions avec le directeur du Pôle Emploi se sont achevées aux alentours de 12h15 "avec des nouvelles plutôt positives si elles se concrétisent" a annoncé Jean-Pierre Técher. Jean-Luc Minatchy aurait assuré à la délégation qu'une plateforme d'urgence va se mettre en place avec les non-grévistes et se poursuivra à l'issue du conflit. "Il s'est également dit très confiant quant à une possible issue au conflit au vu des négociations en cours", a ajouté Jean-Pierre Técher.
Mais dans le parking, d'autres se sont invités aux hostilités... quelques membres de l'association "Agir contre le chômage", présidée par Jean-Pierre Técher. "Contrairement à ce qu'affirme le directeur du Pôle Emploi, de nombreux demandeurs d'emploi sont victimes de ce mouvement de grève des agents qui dure depuis deux semaines", affirme le président.
Jean-Pierre Técher a notamment rappelé que 25.000 entretiens sont en attente et que 8.500 personnes n'ont pas encore été payées, informations qu'il dit avoir obtenu des services concernés. Des chiffres que le directeur du Pôle Emploi réfute.
Pour faire entendre ces doléances, une délégation de membres de l'association a souhaité, ce matin, être reçue par le directeur, Jean-Luc Minatchy. Sauf que le courrier ayant été envoyé mardi, la direction n'avait pas eu le temps de le recevoir... Finalement, profitant d'une suspension de séance dans les négociations décidée par l'intersyndicale, le directeur a accepté de recevoir cette autre délégation.
Une possible issue du conflit, aujourd'hui
Peu de chômeurs étaient finalement présents ce matin. Un constat que Jean-Pierre Técher justifie clairement : "Les chômeurs sont traités comme des 'carapates su tété bœuf', comme des gens qui profitent de la société, comme des paresseux. Il est, du coup, difficile de les encourager à venir manifester. Mais nous sommes là pour les représenter".
Finalement, les discussions avec le directeur du Pôle Emploi se sont achevées aux alentours de 12h15 "avec des nouvelles plutôt positives si elles se concrétisent" a annoncé Jean-Pierre Técher. Jean-Luc Minatchy aurait assuré à la délégation qu'une plateforme d'urgence va se mettre en place avec les non-grévistes et se poursuivra à l'issue du conflit. "Il s'est également dit très confiant quant à une possible issue au conflit au vu des négociations en cours", a ajouté Jean-Pierre Técher.