
Remontés après l'échec des négociations ce lundi matin, les grévistes de la SHLMR (Société d'habitations à loyer modéré de la Réunion), dont le mouvement a débuté le 10 juin, ont décidé d'arpenter à pied les rues de Saint-Denis pour se rendre devant les grilles du Conseil général.
Une délégation a été reçue par Nassimah Dindar, vers 12h. Ressortis plus d'une heure après, les représentants syndicaux sont satisfaits et ont le sentiment d'avoir été entendus. "On lui a parlé du malaise social qu'il y a dans cette société et du problème des salaires", a expliqué Gilbert Hoareau, porte-parole de l'intersyndicale (CFDT, CFE-CGC, FO).
D'après lui, Nassimah Dindar s'est engagé à envoyer un courrier au directeur général de la SHLMR, Jean-François Moser, au président du Conseil d'administration de la SHLMR, Yann de Prince, et au préfet Jean-Luc Marx afin de demander la mise en place d'une médiation. La présidente du Conseil général souhaite par ailleurs que les jours de grève ne soient pas retenus sur le salaire.
Les grévistes entendent désormais se rassembler devant l'Inspection du travail, rue du Maréchal Leclerc.
Une délégation a été reçue par Nassimah Dindar, vers 12h. Ressortis plus d'une heure après, les représentants syndicaux sont satisfaits et ont le sentiment d'avoir été entendus. "On lui a parlé du malaise social qu'il y a dans cette société et du problème des salaires", a expliqué Gilbert Hoareau, porte-parole de l'intersyndicale (CFDT, CFE-CGC, FO).
D'après lui, Nassimah Dindar s'est engagé à envoyer un courrier au directeur général de la SHLMR, Jean-François Moser, au président du Conseil d'administration de la SHLMR, Yann de Prince, et au préfet Jean-Luc Marx afin de demander la mise en place d'une médiation. La présidente du Conseil général souhaite par ailleurs que les jours de grève ne soient pas retenus sur le salaire.
Les grévistes entendent désormais se rassembler devant l'Inspection du travail, rue du Maréchal Leclerc.