
Les salariés de Renault sont en grève illimitée pour la deuxième journée consécutive. Ils annoncent le chiffre de 214 grévistes, soit la quasi intégralité des agents de maîtrise, ouvriers et employés des sites de Saint-Denis, Saint-Paul et Le Port.
Ce matin, un huissier de justice mandaté par la direction, s'est déplacé au Chaudron afin de constater la perturbation du site dont l'accès a été limité par les salariés en grève. L'atelier est quant à lui totalement inactif.
Les grévistes demandent la tenue d'une réunion exceptionnelle
Les négociations sont au point mort. La direction propose une augmentation de salaire mensuelle de 1%, soit 12 euros brut. Mais les grévistes n'en démordent pas, ils réclament une hausse de 35 euros d'augmentation, un bon d'achat de 150 euros ainsi qu'une prime exceptionnelle de 650 euros.
Par ailleurs, ils dénoncent l'attitude du nouveau directeur, en place depuis trois semaines, qui "essaie de marquer son territoire avec une attitude arrogante", décrit l'un des grévistes.
Une prochaine réunion a été fixée au 18 juin mais les grévistes exigent la mise en place d'une réunion exceptionnelle.
Ce matin, un huissier de justice mandaté par la direction, s'est déplacé au Chaudron afin de constater la perturbation du site dont l'accès a été limité par les salariés en grève. L'atelier est quant à lui totalement inactif.
Les grévistes demandent la tenue d'une réunion exceptionnelle
Les négociations sont au point mort. La direction propose une augmentation de salaire mensuelle de 1%, soit 12 euros brut. Mais les grévistes n'en démordent pas, ils réclament une hausse de 35 euros d'augmentation, un bon d'achat de 150 euros ainsi qu'une prime exceptionnelle de 650 euros.
Par ailleurs, ils dénoncent l'attitude du nouveau directeur, en place depuis trois semaines, qui "essaie de marquer son territoire avec une attitude arrogante", décrit l'un des grévistes.
Une prochaine réunion a été fixée au 18 juin mais les grévistes exigent la mise en place d'une réunion exceptionnelle.