Des chercheurs de l’Université d’Exeter en Grande-Bretagne ont lancé une étude pour connaître comment la pollution des mers impacte la santé humaine et la manière dont les bactéries agissent dans le tube digestif.
Pour rendre des conclusions scientifiques en la matière, ils ont convié 300 surfeurs locaux à les renseigner. Les chercheurs leur ont ainsi fourni un kit de prélèvement à utiliser par voie rectale. Les bactéries résistantes aux antibiotiques et présentes dans les eaux britanniques pourront aider au travail de recherche.
Un pratiquant de surf avale notamment près de 170 ml d’eau de mer par session, soit en moyenne plus d’un verre d’eau, et ce qui est dix fois supérieur à l’eau ingurgitée par un baigneur classique.