
Premier port de l’outre-mer et 4e port de France pour les conteneurs, le complexe portuaire de La Réunion génère 4 820 emplois en 2016, dont les trois quarts travaillent sur la commune du Port. Les 520 millions d’euros de valeur ajoutée dégagée par les 410 entreprises concernées pèsent davantage dans la richesse produite sur l’île que dans l’emploi : 7 % de la valeur ajoutée de l’île contre 2 % des emplois.
Une forte croissance des activités maritimes entre 2012 et 2016
Entre 2012 et 2016, l’activité de transbordement s’est fortement développée, du fait d’investissements réalisés dans le cadre du projet stratégique du port. Le trafic maritime a ainsi progressé de 29 %. En conséquence, les activités maritimes et portuaires progressent fortement, à la fois en termes de richesse dégagée et dans une moindre mesure d’emplois. Ainsi, la valeur ajoutée croît de 29 % (+ 40 millions d’euros) et l’emploi de 13 % (+ 290 salariés).
La hausse du trafic maritime bénéficie peu aux entreprises non maritimes situées à proximité
Un port regroupe aussi des activités non maritimes: activités de transports terrestres, d’entreposage, de conditionnement, etc. La hausse du trafic portuaire observée entre 2012 et 2016 a eu globalement peu d’incidence sur ces activités non maritimes : sur la période, l’emploi recule de 8 % et la valeur ajoutée progresse peu (+ 3 %). Les activités de transport tirent néanmoins profit de la hausse du trafic portuaire.
La zone arrière portuaire : un vivier potentiel de 1 800 emplois
Concernant plus du tiers des salariés en 2016, les activités logistiques pourraient croître avec le développement de la zone arrière portuaire, prévue dans le projet stratégique : le potentiel d’emplois est évalué à 1 800 salariés, en se référant à la densité en emplois observée sur le complexe portuaire dans le secteur logistique.
Une forte croissance des activités maritimes entre 2012 et 2016
Entre 2012 et 2016, l’activité de transbordement s’est fortement développée, du fait d’investissements réalisés dans le cadre du projet stratégique du port. Le trafic maritime a ainsi progressé de 29 %. En conséquence, les activités maritimes et portuaires progressent fortement, à la fois en termes de richesse dégagée et dans une moindre mesure d’emplois. Ainsi, la valeur ajoutée croît de 29 % (+ 40 millions d’euros) et l’emploi de 13 % (+ 290 salariés).
La hausse du trafic maritime bénéficie peu aux entreprises non maritimes situées à proximité
Un port regroupe aussi des activités non maritimes: activités de transports terrestres, d’entreposage, de conditionnement, etc. La hausse du trafic portuaire observée entre 2012 et 2016 a eu globalement peu d’incidence sur ces activités non maritimes : sur la période, l’emploi recule de 8 % et la valeur ajoutée progresse peu (+ 3 %). Les activités de transport tirent néanmoins profit de la hausse du trafic portuaire.
La zone arrière portuaire : un vivier potentiel de 1 800 emplois
Concernant plus du tiers des salariés en 2016, les activités logistiques pourraient croître avec le développement de la zone arrière portuaire, prévue dans le projet stratégique : le potentiel d’emplois est évalué à 1 800 salariés, en se référant à la densité en emplois observée sur le complexe portuaire dans le secteur logistique.