La CGPER (Confédération générale des planteurs et éleveurs de La Réunion) a tenu un point presse ce dimanche pour demander le soutien de l'Etat suite à l'épisode de givre à la Plaine-des-Cafres au début du mois de juillet.
Selon Jean-Yves Minatchy, président de la CGPER, le givre a engendré une perte de 100% des recettes des planteurs de tomates, pommes de terre, courgettes, etc.
"50 hectares ont été touchés, ce qui représente un montant de 500.000 euros", affirme-t-il. Il propose également que la CASUD et le Département prennent des mesures d'urgence pour venir en aide au planteurs qui devront attendre 3 mois pour la prochaine récolte.
"Les paysans sont abattus, surtout après les cyclones avant ça. Ils ont beaucoup perdu ces dernières années. Il faut leur redonner le moral", explique-t-il.
Il demande donc à l'Etat que ces terrains soient reconnus comme zones de catastrophe naturelle et que des aides soient apportés, comme lors de grêles ou ouragans en métropole, "car nous aussi nous sommes des Français".
Les éleveurs demandent aussi une aide car leurs terrains ont été brûlés suite au passage de givre.
Selon Jean-Yves Minatchy, président de la CGPER, le givre a engendré une perte de 100% des recettes des planteurs de tomates, pommes de terre, courgettes, etc.
"50 hectares ont été touchés, ce qui représente un montant de 500.000 euros", affirme-t-il. Il propose également que la CASUD et le Département prennent des mesures d'urgence pour venir en aide au planteurs qui devront attendre 3 mois pour la prochaine récolte.
"Les paysans sont abattus, surtout après les cyclones avant ça. Ils ont beaucoup perdu ces dernières années. Il faut leur redonner le moral", explique-t-il.
Il demande donc à l'Etat que ces terrains soient reconnus comme zones de catastrophe naturelle et que des aides soient apportés, comme lors de grêles ou ouragans en métropole, "car nous aussi nous sommes des Français".
Les éleveurs demandent aussi une aide car leurs terrains ont été brûlés suite au passage de givre.