En mal de reconnaissance sociale, ces délaissés du Chaudron ont recours à la violence extrême pour se faire entendre.
Cette réaction épidermique aux effets dévastateurs est aujourd’hui intolérable, mais la crise sociale couvait depuis de trop longs mois au Chaudron.
Gilbert Annette avec une politique de copinage à tout-va a incontestablement allumé la mèche de l’explosion, en donnant un triste exemple à ses concitoyens dionysiens, de favoritisme éhonté au seul profit de la seule famille Annette à Saint-Denis.
Comment clamer haut et fort devant les médias le taux exponentiel de chômage à La Réunion et en oubliant de préciser qu’à l’inverse au sein du clan Annette, ce taux de chômage est au plus bas.
Ce n’est pas son fils Didier Annette et Ericka Bareigts qui viendront s’opposer à ce constat affligeant où seul l’intérêt de la famille Annette prime avant tout.
La vie chère ne concerne nullement les privilégiés du clan Annette qui ont les poches bien pleines pour vivre tranquillement.
Les autres subalternes sont uniquement des pions au service de Gilbert Annette.
Le quartier populaire de Saint-Denis est donc aujourd’hui à feu et à sang à cause de l’inaction d’un seul homme, Gilbert Annette, qui n’a même pas le courage de rester le soir au cœur du quartier du Chaudron pour apaiser les tensions avant de possibles débordements.
Monsieur Gilbert Annette, le vrai courage d’un homme politique se juge non pas à ses longs discours ennuyeux et grandiloquents devant les micros, mais plutôt à sa capacité à reconnaître ses erreurs et agir en homme politique responsable dans le feu de l’action.
Gilbert Annette n’est toujours pas à la hauteur des événements du Chaudron.
Machiavel
PS : A ceux qui me critiqueront, avant de prendre la plume, pensez au clan Annette et à leur pouvoir d’achat de privilégiés face à la vie chère actuelle qui sévit à la Réunion. Ensuite, regardez un instant le vôtre, et si vous pensez qu’il est le même que ceux des Annette, alors critiquez-moi sans aucune complaisance à ce moment-là…