Revenir à la rubrique : Politique

Gilbert Annette demande aux commerçants de patienter deux mois

Les commerçants du centre ville de Saint-Denis ressortent déçus et remontés contre la décision de la mairie de Saint-Denis de vouloir maintenir l’actuelle modification de la circulation. Ils étaient reçus ce jeudi depuis 17H30, en mairie de Saint-Denis. Une réunion qui s’est achevée par un désaccord vers 19H. Les commerçants ont obtenu du maire que […]

Ecrit par S.Hitchon - L.Grondin – le jeudi 24 août 2017 à 19H31

Les commerçants du centre ville de Saint-Denis ressortent déçus et remontés contre la décision de la mairie de Saint-Denis de vouloir maintenir l’actuelle modification de la circulation.

Ils étaient reçus ce jeudi depuis 17H30, en mairie de Saint-Denis. Une réunion qui s’est achevée par un désaccord vers 19H. Les commerçants ont obtenu du maire que le dispositif soit tout de même évalué au bout de deux mois. Mais ce sont « deux mois de trop », affirme pas du tout convaincu Sandiren Permale, le président de l’Union des commerçants de Saint-Denis. 

Les commerçants déplorent depuis une semaine les modifications « sans concertation » de la circulation opérées dans les rues Felix Guyon et Maréchal Leclerc. 

Des réunions de travail avaient été programmées en fin de semaine dernière au sein de la CCIR. Une délégation avait été reçue par le président Ibrahim Patel qui accompagnait également les commerçants aujourd’hui à l’hôtel de ville où une réunion avec la mairie et la CINOR était organisée. Les professionnels ont également reçu le soutien du président de la Chambre de métiers, Bernard Picardo.

« Le projet a déjà failli être réalisé l’année dernière. Les panneaux avaient même été installés. Mais nous avions obtenu deux réunions avec les élus et, vu notre désaccord, le projet avait été stoppé. Mais voilà que les panneaux sont installés à nouveau du jour au lendemain sans concertation avec les riverains », indiquait la semaine dernière le président de l’Union des commerçants dionysiens, Sandiren Permale.

Le voilà déçu, ce jeudi soir. « Le maire n’a pas voulu nous écouter. Il persiste et garde la rue telle quelle. Deux mois c’est trop long, une société peut fermer. Nous sommes déçus, une deuxième fois. On est invité ce soir pour qu’il nous dise ce qu’il nous impose ».

[L’interview de Sandiren Permale, commerçant dans la rue Maréchal Leclerc et président de l’Union des commerçants dionysiens (UCD) ]urlblank:http://www.zinfos974.com/Circulation-modifiee-a-St-Denis-Les-commercants-prets-a-manifester_a117956.html

 

 

Thèmes :
Message fin article

Avez-vous aimé cet article ?

Partagez-le sans tarder sur les réseaux sociaux, abonnez-vous à notre Newsletter,
et restez à l'affût de nos dernières actualités en nous suivant sur Google Actualités.

Pour accéder à nos articles en continu, voici notre flux RSS : https://www.zinfos974.com/feed
Une meilleure expérience de lecture !
nous suggérons l'utilisation de Feedly.

S’abonner
Notification pour
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires

Dans la même rubrique

Européennes : Le candidat mahorais Saidali Boina Hamissi écarté de la liste du RN

Le Rassemblement national a exclu Saidali Boina Hamissi de sa liste pour les élections européennes suite à la controverse entourant ses propos sur les femmes et son soutien exprimé à Vladimir Poutine.
Cette décision, confirmée par une source interne du parti à l’AFP et initialement rapportée par France info, intervient après que des messages Facebook anciens du candidat mahorais ont été rendus publics, révélant des vues complotistes et racistes.

Aurore Bergé : “La Réunion a pris conscience de la nécessité de briser le tabou des violences intrafamiliales”

Ce mardi, la ministre déléguée chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminations, a inauguré la nouvelle maison des femmes, de la mère et de l’enfant de Saint-Paul. Ce lieu a vocation à devenir un guichet unique regroupant des professionnels de santé du CHOR et des associations de lutte contre les VIF pour aider les femmes victimes de violence à se reconstruire.