Alors qu'il était encore ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg avait commandé un rapport qui concluait à "la faisabilité d'exploiter des gaz de schiste sans recourir à la fracturation hydraulique controversée". Selon Le Figaro, ce rapport a été "consciencieusement enterré".
Comme l'explique le quotidien conservateur, ce document souligne combien "la France pourrait en tirer parti, en termes de croissance, d’emplois, de compétitivité industrielle, d’indépendance énergétique".
L'exploitation du gaz de schiste représenterait "une manne d'au moins 100 milliards d'euros pour la France" et "créerait entre 120.000 et 225.000 emplois", ajoute le rapport.
Malgré ces avantages financiers et ces créations d'emplois -tout en proposant une alternative environnementale à la fracturation hydraulique présentée par le rapport- l'exécutif avait déclaré à l'été 2013 qu'aucune exploitation du gaz de schiste n'aurait lieu en France sous son mandat.
Suite à l'article du Figaro, la ministre de l'Écologie, Ségolène Royal, a donné ses arguments contre l'exploitation du gaz de schiste en France :
Comme l'explique le quotidien conservateur, ce document souligne combien "la France pourrait en tirer parti, en termes de croissance, d’emplois, de compétitivité industrielle, d’indépendance énergétique".
L'exploitation du gaz de schiste représenterait "une manne d'au moins 100 milliards d'euros pour la France" et "créerait entre 120.000 et 225.000 emplois", ajoute le rapport.
Malgré ces avantages financiers et ces créations d'emplois -tout en proposant une alternative environnementale à la fracturation hydraulique présentée par le rapport- l'exécutif avait déclaré à l'été 2013 qu'aucune exploitation du gaz de schiste n'aurait lieu en France sous son mandat.
Suite à l'article du Figaro, la ministre de l'Écologie, Ségolène Royal, a donné ses arguments contre l'exploitation du gaz de schiste en France :