
Le parquet a confirmé la correspondance génétique retrouvée sur plusieurs scènes de crime et l’ADN de l’homme décédé mercredi soir. Depuis 35 ans, il était recherché, soupçonné d’avoir commis le meurtre de Cécile Bloch, 11 ans, poignardée et violée en mai 1986, celui de Gilles Politi, 38 ans, et d’Irmgard Mueller, 20 ans, tués en avril 1987. De 1986 à 1994, il est suspecté également de six viols.
Les victimes avaient décrit leur agresseur avec des cicatrices sur le visage. C’est pour cette raison qu’il avait été surnommé "le Grêlé". Les enquêteurs étaient sur la piste d’anciens gendarmes depuis quelques mois.
L’homme de 59 ans, ancien gendarme devenu par la suite policier, s’est donné la mort mercredi dans une location qu’il avait pris la veille non loin de chez lui. Il devait être auditionné mercredi. Dans sa lettre d’aveu, "le Grêlé" aurait évoqué "des pulsions passées" et indiqué qu’il n’aurait "rien fait depuis 1997", relate la presse nationale.
Les victimes avaient décrit leur agresseur avec des cicatrices sur le visage. C’est pour cette raison qu’il avait été surnommé "le Grêlé". Les enquêteurs étaient sur la piste d’anciens gendarmes depuis quelques mois.
L’homme de 59 ans, ancien gendarme devenu par la suite policier, s’est donné la mort mercredi dans une location qu’il avait pris la veille non loin de chez lui. Il devait être auditionné mercredi. Dans sa lettre d’aveu, "le Grêlé" aurait évoqué "des pulsions passées" et indiqué qu’il n’aurait "rien fait depuis 1997", relate la presse nationale.