« Quand j’ai commencé la série, je me suis dit : les gens qui l’ont créée sont complètement tarés ! Dès les premières scènes, l’histoire est folle ! Ça m’a tout de suite donner envie de voir la suite. «
Comme Rechad, des millions de téléspectateurs ont été séduits au début des années 2010 par cette série médiévale fantastique, adaptée des romans de George R. R. Martin. « C’est très bien écrit. Les créateurs nous tiennent en haleine de la saison 1 à la saison 8. »
« Il y a clairement un avant et un après Game of Thrones : en termes de scénario, ils nous ont pondu quelque chose qui n’avait jamais été fait avant«
8 ans plus tard, l’histoire des différentes familles qui s’affrontent pour s’asseoir sur le Trône de Fer, symbole du pouvoir au sein du royaume des Sept Couronnes, touche à sa fin. « C’est un sentiment bizarre. C’est dur de se dire que c’est terminé. On est un peu dégoûté, on voudrait que ça dure encore », confie le fan.
Rechad s’est jeté sur l’épisode dès son réveil, pour éviter les spoilers sur les réseaux sociaux : « je m’attendais quand même à mieux pour ce dernier épisode. Il rend justice aux personnages principaux mais la fin m’a semblé mal amenée, voire un peu bâclée. Mais l’épisode reste chouette, toujours mieux que l’épisode précédent qui était catastrophique. »
C’est que cette dernière saison, très attendue, est loin de satisfaire tous les fans. Une pétition a même été lancée en ligne pour demander à ce qu’elle soit ré-écrite. Elle a déjà récolté plus d’un million de signatures.
La série la plus piratée sur internet de l’histoire
« Ils auraient pu faire deux saisons avec tout le contenu de cette 8ème. Elle donne l’impression d’avoir été un peu bâclée, alors que c’est justement celle qui aurait dû être la plus travaillée, pour finir en beauté ! », explique Rechad, quelque peu déçu lui aussi.
La série détient tout de même des records d’audience historiques, avec plusieurs dizaines de millions de téléspectateurs à la sortie de chaque épisode. Game of Thrones est également la série la plus piratée sur internet de l’histoire.