C’est “l’incident” qui est venu ternir la manifestation de ce mardi. D’abord relatée par nos confrères d’Antenne Réunion, cette sombre histoire de fumigène chez Pardon! n’en finit pas de faire couler de l’encre.
Au vu de certains titres de nos confrères, on peut avoir l’impression qu’un black-block (teinté du rouge de la CGTR) s’est formé en plein centre-ville, au nez et à la barbe des forces de l’ordre. On apprend dans les éditions du jour qu'à coup d'intimidations, de menaces à peine voilées, ils auraient réussi à faire baisser le rideau à la moitié des commerçants de Saint-Denis. Une attitude jugée criminelle envers des commerçants déjà au bord du gouffre après une pandémie et une crise économique rampante. Certains évoquent même une demi-journée de perdu pour les commerçants, une catastrophe en pleine période de soldes.
Le pic de la “terreur” (sic) étant l’épisode du fumigène. Des militants ont fait brûler un fumigène sur le palier de la boutique Pardon! Un peu de fumée dans le commerce, quelques slogans et le cortège repart.
Au vu de certains titres de nos confrères, on peut avoir l’impression qu’un black-block (teinté du rouge de la CGTR) s’est formé en plein centre-ville, au nez et à la barbe des forces de l’ordre. On apprend dans les éditions du jour qu'à coup d'intimidations, de menaces à peine voilées, ils auraient réussi à faire baisser le rideau à la moitié des commerçants de Saint-Denis. Une attitude jugée criminelle envers des commerçants déjà au bord du gouffre après une pandémie et une crise économique rampante. Certains évoquent même une demi-journée de perdu pour les commerçants, une catastrophe en pleine période de soldes.
Le pic de la “terreur” (sic) étant l’épisode du fumigène. Des militants ont fait brûler un fumigène sur le palier de la boutique Pardon! Un peu de fumée dans le commerce, quelques slogans et le cortège repart.
"Une polémique qui n’a pas lieu d’être"
“Honnêtement, c’est une tempête dans un verre d’eau. Le courrier envoyé à l’association des commerçants n’a rien d’anormal. La CGTR a régulièrement demandé aux commerçants de baisser le rideau au passage de la manifestation, pour éviter tout problème et aussi montrer sa solidarité envers les luttes sociales”, s’agace Jacques Bhugon, le secrétaire général du syndicat.
“On voit parfaitement que les militants ne rentrent pas dans le magasin. Rien n’est dégradé, aucune violence n’est à déplorer. On cherche la polémique alors que les cortèges sont très calmes. C’est très exagéré comme histoire", explique-t-il.
"D’autant plus quand j’entends que les commerçants ont perdu une demi-journée. Nous sommes aussi conscients qu’un défilé a un impact sur la fréquentation du centre-ville. Voilà pourquoi notre cortège de samedi ne circulera que sur la rue de Paris, pour laisser cette journée du samedi aux commerçants et aux habitants qui veulent faire les magasins en ville”, conclut le leader de la CGTR.
“Honnêtement, c’est une tempête dans un verre d’eau. Le courrier envoyé à l’association des commerçants n’a rien d’anormal. La CGTR a régulièrement demandé aux commerçants de baisser le rideau au passage de la manifestation, pour éviter tout problème et aussi montrer sa solidarité envers les luttes sociales”, s’agace Jacques Bhugon, le secrétaire général du syndicat.
“On voit parfaitement que les militants ne rentrent pas dans le magasin. Rien n’est dégradé, aucune violence n’est à déplorer. On cherche la polémique alors que les cortèges sont très calmes. C’est très exagéré comme histoire", explique-t-il.
"D’autant plus quand j’entends que les commerçants ont perdu une demi-journée. Nous sommes aussi conscients qu’un défilé a un impact sur la fréquentation du centre-ville. Voilà pourquoi notre cortège de samedi ne circulera que sur la rue de Paris, pour laisser cette journée du samedi aux commerçants et aux habitants qui veulent faire les magasins en ville”, conclut le leader de la CGTR.