
Les prises de parole se sont faites tour à tour pendant plus d'une heure. Pas de réelle gêne occasionnée aux nombreux consommateurs entrant dans la grande surface mais un espace de réflexion façon tribun.
La première réflexion qui vient à l'esprit de Pascal Basse, responsable de la coordination du Front de Gauche dans le sud, est de flinguer "les réductions de prix sur les produits solidaires financées par l'argent des contribuables" fustige l'intéressé. "Nous voulons dénoncer la supercherie du Conseil général" poursuit-il.
Au-delà de la critique, le Front de Gauche, dont la campagne de Jean-Luc Mélenchon est animée à la Réunion par le syndicaliste Yvan Hoareau, alarme l'Etat, et plus exactement le Préfet sur son rôle moteur quant à la formation des prix à la Réunion.
L'autre idée qui a été ressuscitée au lendemain des émeutes de février et qui continue de faire son chemin chez les membres du Front de Gauche, celle de la réévaluation du Smic. "Nous voulons une augmentation de 200 euros du Smic dès le lendemain de la présidentielle" affirme Pascal Basse. "200 euros, ça représente le dernier caddie qu'il manque aux familles à partir du 20 du mois" affirme-t-il a titre d'illustration.
Du fait de l'effet ciseau mécanique de l'offre et de la demande à cause de l'augmentation de la population mondiale qui rendra nos produits encore plus chers demain, il évoque la piste d'une "redéfinition de nos approvisionnements" comme solution. Le "produire local" est une nouvelle fois porté en estime, tous partis confondus d'ailleurs.
"Il faut échanger davantage avec les pays de la zone sud océan Indien. De plus, moins on transportera, moins on polluera" ajoute-t-il avant d'appeler l'Etat à lutter face à cette "vague de libéralisme".
La première réflexion qui vient à l'esprit de Pascal Basse, responsable de la coordination du Front de Gauche dans le sud, est de flinguer "les réductions de prix sur les produits solidaires financées par l'argent des contribuables" fustige l'intéressé. "Nous voulons dénoncer la supercherie du Conseil général" poursuit-il.
Au-delà de la critique, le Front de Gauche, dont la campagne de Jean-Luc Mélenchon est animée à la Réunion par le syndicaliste Yvan Hoareau, alarme l'Etat, et plus exactement le Préfet sur son rôle moteur quant à la formation des prix à la Réunion.
L'autre idée qui a été ressuscitée au lendemain des émeutes de février et qui continue de faire son chemin chez les membres du Front de Gauche, celle de la réévaluation du Smic. "Nous voulons une augmentation de 200 euros du Smic dès le lendemain de la présidentielle" affirme Pascal Basse. "200 euros, ça représente le dernier caddie qu'il manque aux familles à partir du 20 du mois" affirme-t-il a titre d'illustration.
Du fait de l'effet ciseau mécanique de l'offre et de la demande à cause de l'augmentation de la population mondiale qui rendra nos produits encore plus chers demain, il évoque la piste d'une "redéfinition de nos approvisionnements" comme solution. Le "produire local" est une nouvelle fois porté en estime, tous partis confondus d'ailleurs.
"Il faut échanger davantage avec les pays de la zone sud océan Indien. De plus, moins on transportera, moins on polluera" ajoute-t-il avant d'appeler l'Etat à lutter face à cette "vague de libéralisme".