Issue d’une famille pauvre de Saint-Benoît, Françoise Guimbert devient auteure, compositrice, interprète, percussionniste. Elle connaît son premier succès musical avec "Tantine zaza", en 1978, avant de créer le groupe Voulvoul.
Chanteuse dans le Groupe folklorique de La Réunion avec Maxime Laope et Alain Peters, puis désignée comme son héritière musicale par Benoîte Boulard, Françoise Guimbert enchaîne les succès.
Au début des années 90, elle se perfectionne en percussions traditionnelles auprès de Bernadette Ladauge et s'investit auprès des jeunes en leur faisant découvrir la musique avec l'association de quartier Pomme d'Aco à Saint-Benoît.
Elle s’illustre ensuite dans le maloya à travers "A moins même la race" en 1989, “Sega la pente” avec Danyel Waro en 1996, l'album Paniandy, ou encore “Déboulonné”.
Le succès de Françoise Guimbert dépasse les frontières de l’île. La chanteuse péi effectue une tournée internationale de 2002 à 2004.
De retour sur l'île, elle poursuit sa carrière musicale.
Grande voix du Maloya, la marraine du maloya est décédée à l’âge de 76 ans.
Chanteuse dans le Groupe folklorique de La Réunion avec Maxime Laope et Alain Peters, puis désignée comme son héritière musicale par Benoîte Boulard, Françoise Guimbert enchaîne les succès.
Au début des années 90, elle se perfectionne en percussions traditionnelles auprès de Bernadette Ladauge et s'investit auprès des jeunes en leur faisant découvrir la musique avec l'association de quartier Pomme d'Aco à Saint-Benoît.
Elle s’illustre ensuite dans le maloya à travers "A moins même la race" en 1989, “Sega la pente” avec Danyel Waro en 1996, l'album Paniandy, ou encore “Déboulonné”.
Le succès de Françoise Guimbert dépasse les frontières de l’île. La chanteuse péi effectue une tournée internationale de 2002 à 2004.
De retour sur l'île, elle poursuit sa carrière musicale.
Grande voix du Maloya, la marraine du maloya est décédée à l’âge de 76 ans.