Comme à l’approche de chaque élection présidentielle, la vie de chaque candidat ainsi que leur parcours sont scrutés dans le moindre détail. Comme le prévoit la loi de fin 2013, tout candidat aux présidentielles, ancien ministre ou pas, doit faire l’objet de transparence quant aux ressources qu’ils perçoivent. Au quel cas, ils encourent une amende de 45 000 euros et une peine d’emprisonnement de 3 ans. Ainsi, après l’affaire d'emploi fictif présumée impliquant François Fillon et sa femme Pénélope, celui-ci se voit dans l’obligation de jouer la carte de la transparence. Le candidat révèle donc au public lundi dernier qu’il n’est pas soumis à l’impôt sur la fortune et donc qu’il ne toucherait pas plus de 1,3 million d’euros.
Celui-ci révèle qu’il est également aux commandes d’une société de conseils très rémunératrice qui lui rapporte plus de 343 000 euros par an. De plus, de sa société, François Fillon possède également des biens plus personnels à savoir un manoir de 1107 m2 auxquels s’ajoutent une dépendance de 1602 m2, dont la valeur est estimée à 750 000 euros, deux montres d’une valeur de 27 000 euros et deux voitures dont une Peugeot et une Toyota.
Pour finir, le candidat des Républicains dispose aussi de deux maisons issues de l’héritage de son père et plus de 17 comptes au Crédit Agricole.
Celui-ci révèle qu’il est également aux commandes d’une société de conseils très rémunératrice qui lui rapporte plus de 343 000 euros par an. De plus, de sa société, François Fillon possède également des biens plus personnels à savoir un manoir de 1107 m2 auxquels s’ajoutent une dépendance de 1602 m2, dont la valeur est estimée à 750 000 euros, deux montres d’une valeur de 27 000 euros et deux voitures dont une Peugeot et une Toyota.
Pour finir, le candidat des Républicains dispose aussi de deux maisons issues de l’héritage de son père et plus de 17 comptes au Crédit Agricole.