Revenir à la rubrique : Faits divers

Fortes pluies : Un chemin régulièrement impraticable à la Ravine des Cabris

Des habitants de la Ravine des Cabris sont régulièrement coincés chez eux après des fortes pluies. L'eau emporte une partie du chemin qui devient impraticable.

Ecrit par Lilian Cornu – le mercredi 11 mai 2011 à 15H41


A chaque épisode pluvieux, c’est la même histoire pour les riverains de l’impasse Cyprès à la Ravine des Cabris. Leur chemin est littéralement traversé par la ravine qui se situe en amont et l’eau emporte régulièrement une partie de la chaussée. Au réveil le matin, impossible de sortir la voiture pour aller travailler, le chemin est impraticable ; Avec des trous d’une profondeur pouvant atteindre un mètre, les voitures ne peuvent plus passer, les 4×4 non plus. Ce matin, après les fortes pluies de cette nuit, une habitante a même dû appeler un taxi pour se rendre sur son lieu de travail.

Dans la matinée, après qu’un riverain se soit plaint à la radio, les services de la municipalité de Saint-Pierre n’ont pas tardé à venir pour reboucher les trous. A 10h00 le chemin était à nouveau praticable mais pour combien de temps se demandent les habitants ? Les services techniques de la mairie se contentent de combler les trous avec du gravier « tout-venant ». Évidemment, dès qu’il pleut suffisamment fort, l’eau qui ravine dans l’impasse se charge d’emporter les matériaux qui bouchent les trous. Il s’agit donc d’une solution temporaire qui doit être répétée régulièrement.

Sans réseau de canalisation des eaux et avec un chemin non-bitumé, cette situation se reproduira à chaque fortes pluies. Quelques habitants de l’impasse devraient rencontrer prochainement des responsables municipaux pour trouver une solution.

 

Thèmes :
Message fin article

Avez-vous aimé cet article ?

Partagez-le sans tarder sur les réseaux sociaux, abonnez-vous à notre Newsletter,
et restez à l'affût de nos dernières actualités en nous suivant sur Google Actualités.

Pour accéder à nos articles en continu, voici notre flux RSS : https://www.zinfos974.com/feed
Une meilleure expérience de lecture !
nous suggérons l'utilisation de Feedly.

S’abonner
Notification pour
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires

Dans la même rubrique

Agression du personnel pénitentiaire au Port : Le détenu voit rouge suite à la confiscation d’un plant de tomates

Julien L., détenu au centre pénitentiaire du Port, a reçu 30 jours de cachot pour avoir agressé des surveillants le 11 avril lors d’une inspection de cellule où son plant de tomates a été confisqué. Il a jeté une bouteille en verre et utilisé une casserole comme arme contre le personnel d’intervention. Suite à cet incident, qui a nécessité neuf personnes pour le maitriser, il a été condamné à huit mois supplémentaires de prison par le tribunal correctionnel.

Coup de folie dans un restaurant de St-Denis : L’individu armé n’avait pas toute sa tête

Noor-Mohamed M., souffrant de troubles psychiques, a provoqué un incident violent dans un restaurant à Saint-Denis, menaçant des clients avec un couteau et une matraque télescopique. L’altercation s’est poursuivie jusqu’à ce que la sécurité intervienne et que la police l’arrête en état d’agitation extrême. Diagnostiqué avec plusieurs troubles mentaux, il a été condamné à trois ans de prison, dont deux avec sursis probatoire, et doit suivre des soins obligatoires.

Accident mortel à Saint-Joseph : Le conducteur placé sous contrôle judiciaire

Le conducteur est soupçonné d’avoir provoqué un accident mortel dimanche matin à Saint-Joseph. Dans un premier temps, une femme s’était dénoncée, mais les investigations ont fait douter les enquêteurs qui pensent qu’elle a tenté de couvrir son fils. Ce dernier a été placé en garde à vue et déféré ce mercredi après-midi au tribunal. Il a été placé sous contrôle judiciaire.

St-André : En incendiant un véhicule, il met le feu à un immeuble

Guillaume R., 33 ans, a mis le feu à la voiture dans laquelle il avait élu domicile, entraînant l’incendie de deux autres véhicules et la propagation du feu à un immeuble voisin. Après avoir avoué « bêtement » son geste aux policiers, il a été jugé et condamné à 18 mois de prison pour incendie volontaire, malgré des antécédents psychiatriques et des troubles exacerbés par la consommation de substances.