Il est 16h15 le 30 août dernier lorsqu'une Citroën C2 débarque avec 5 jeunes à son bord dans une station-service de Saint-Paul. Ils commencent à mettre la pagaille dans la boutique et aux pompes, notamment en obligeant le pompiste à ne pas faire payer le plein d'un scooter qui venait de ravitailler. Deux d'entre eux entrent dans le magasin. Le premier fait tomber un rack de magazines sans le ramasser quand le second s'allonge sur le congélateur.
Ne pouvant rien faire pour les arrêter, le gérant déclenche l'alarme de la société de sécurité et finit par appeler les gendarmes. Face à tout ce raffut, le père du gérant, en plein repas de famille, finit par venir voir ce qui se passe. Il ne s'en laisse pas compter et décide de leur tenir tête. Résultat, il subit des violences de la part des deux jeunes, et se verra décerner une ITT de 8 jours.
Il refuse de se laisser interpeller et lance un joli "Fé bour a ou" en guise de présentation au militaire
Lorsque les gendarmes arrivent, deux des cinq jeunes prennent la poudre d'escampette. Sur les trois qui restent, un est interpellé et les deux autres mis hors de cause. Un des deux fuyards est interpellé par une deuxième patrouille, l'autre est introuvable. Fortement alcoolisé, il refuse de se laisser interpeller et lance un joli "Fé bour a ou" en guise de présentation au militaire qui l'arrête. Il comparait ce mercredi pour refus d'obtempérer, ivresse sur la voie publique et insulte sur un agent des forces de l'ordre. Âgé de 25 ans, il a la bagatelle de 22 mentions à son casier. Il devait se faire poser un bracelet électronique pour une période de 8 mois .... hier ! Zut alors, il était en garde à vue ...
Le second fuyard est interpellé le lundi 31 à son domicile. Ce sont donc trois jeunes et élégants bipèdes qui sont présentés en comparution immédiate ce mercredi. À les écouter s'expliquer tous les trois, on comprend vite qu'ils se sont fait agresser par le gérant. Ils finissent par entendre raison et s'excusent des torts qu'ils ont causés après avoir entendu la procureure requérir, en plus de la prison, leur maintien en détention.
Au final, les trois partent directement à Domenjod sans ravitailler. Deux d'entre eux pour une période de 8 mois pour violences, le troisième prend 6 mois pour refus d'obtempérer, insulte et ivresse sur la voie publique.
Ne pouvant rien faire pour les arrêter, le gérant déclenche l'alarme de la société de sécurité et finit par appeler les gendarmes. Face à tout ce raffut, le père du gérant, en plein repas de famille, finit par venir voir ce qui se passe. Il ne s'en laisse pas compter et décide de leur tenir tête. Résultat, il subit des violences de la part des deux jeunes, et se verra décerner une ITT de 8 jours.
Il refuse de se laisser interpeller et lance un joli "Fé bour a ou" en guise de présentation au militaire
Lorsque les gendarmes arrivent, deux des cinq jeunes prennent la poudre d'escampette. Sur les trois qui restent, un est interpellé et les deux autres mis hors de cause. Un des deux fuyards est interpellé par une deuxième patrouille, l'autre est introuvable. Fortement alcoolisé, il refuse de se laisser interpeller et lance un joli "Fé bour a ou" en guise de présentation au militaire qui l'arrête. Il comparait ce mercredi pour refus d'obtempérer, ivresse sur la voie publique et insulte sur un agent des forces de l'ordre. Âgé de 25 ans, il a la bagatelle de 22 mentions à son casier. Il devait se faire poser un bracelet électronique pour une période de 8 mois .... hier ! Zut alors, il était en garde à vue ...
Le second fuyard est interpellé le lundi 31 à son domicile. Ce sont donc trois jeunes et élégants bipèdes qui sont présentés en comparution immédiate ce mercredi. À les écouter s'expliquer tous les trois, on comprend vite qu'ils se sont fait agresser par le gérant. Ils finissent par entendre raison et s'excusent des torts qu'ils ont causés après avoir entendu la procureure requérir, en plus de la prison, leur maintien en détention.
Au final, les trois partent directement à Domenjod sans ravitailler. Deux d'entre eux pour une période de 8 mois pour violences, le troisième prend 6 mois pour refus d'obtempérer, insulte et ivresse sur la voie publique.